Il aura fallu 48 heures au ministre franco-tunisien pédéraste Frédéric Mitterrand pour exécuter les ordres de Serge Klarsfeld, éminent lobbyiste juif.
Ce dernier avait en effet exprimé son mécontentement en apprenant que le 50ème anniversaire de la mort de Louis-Ferdinand Céline devait être commémoré officiellement en 2011, parmi 500 autres personnalités sur la liste des « célébrations nationales » du ministère de la Culture (sic).
Ainsi, l’un des plus grands écrivains français de tous les temps se retrouve banni du patrimoine officiel français, au profit d’une multitude de farceurs de plus ou moins bon goût, sur ordre d’un « dictateur de la mémoire », Serge Klarsfeld (président de l’association des Fils et Filles de déportés juifs de France).