La mémoire aux mains des lobbies

Il aura fallu 48 heures au ministre franco-tunisien pédéraste Frédéric Mitterrand pour exécuter les ordres de Serge Klarsfeld, éminent lobbyiste juif.

Ce dernier avait en effet exprimé son mécontentement en apprenant que le 50ème anniversaire de la mort de Louis-Ferdinand Céline devait être commémoré officiellement en 2011, parmi 500 autres personnalités sur la liste des « célébrations nationales » du ministère de la Culture (sic).

Ainsi, l’un des plus grands écrivains français de tous les temps se retrouve banni du patrimoine officiel français, au profit d’une multitude de farceurs de plus ou moins bon goût, sur  ordre d’un « dictateur de la mémoire », Serge Klarsfeld (président de l’association des Fils et Filles de déportés juifs de France).

Jacques Dutronc dans le rôle de Louis-Ferdinand Céline au cinéma ?

 Bien qu’on l’ait plus souvent vu au cinéma que sur scène ou en studio ces dernières années, Dutronc déplore le manque d’envergure du cinéma français.
«Ça manque un peu de locomotives, se désole-t-il. Le seul projet intéressant qu’on m’a proposé, c’est un film mis en scène par Malavoy qui évoquerait la fuite de Céline en Allemagne, mais ils ont du mal à trouver un financement» (Le Figaro du 14/12/2009).

Dutronc doit incarner l’écrivain Céline, son écrivain préféré (« sa veuve m’a toujours expliqué que je lui ressemblais, d’ailleurs j’ai le même doigt tordu que lui », souligne-t-il) dans un film de Christophe Malavoy, dont il entamera le tournage après… la tournée (Le Monde Magazine, 9/1/2010).

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