Le FLN – organisation séparatiste et terroriste soutenue entre autres par la gauche française et toujours au pouvoir en Algérie – avait décidé, devant l’essoufflement de sa propagande, de passer à une stratégie sanguinaire pour faire « monter la pression » en Algérie française.
Ainsi, dans le petit village minier d’El Halia, 71 Européens furent massacrés de la façon la plus ignoble que l’on puisse imaginer.
Outre les égorgements des hommes (après ablation du sexe et vision du viol de leurs femmes et de leurs filles) et l’éventration des femmes – méthode habituelle -, on note pour la première fois des personnes dépecées, vraisemblablement tant qu’elles étaient vivantes. Ainsi que des empalements.
Souvenons-nous aussi comme des voisins chaleureux et ceux que l’on croyait des « amis » se sont transformés du jour au lendemain.
Depuis la fuite de Varennes, le roi Louis XVI et sa famille sont assignés à résidence au palais des Tuileries (aujourd’hui disparu), à l’ouest du Louvre.
La tension est vive et, excitée par Danton, une foule de sans-culottes se masse aux abords du palais.
Le 26 mars 1962, un traquenard diabolique ourdi par le pouvoir gaulliste et ses complices à Alger permettait d’enfermer dans une nasse les patriotes algérois venus défiler pacifiquement derrière les drapeaux français, pour protester contre le terrible blocus du quartier de Bab-el-Oued, assiégé par la Gendarmerie mobile.
Le préfet Vitalis-Cros fit appel à l’armée pour bloquer le passage de la foule. C’est le 4e Regiment de Tirailleurs Algériens ( arabes ou berbères, qui n’avaient jamais assuré l’ordre en ville, revenus harassés après plusieurs jours de marche), qui est désigné malgré la mise en garde de son commandement prévenant que ces soldats ne sont pas préparés à une confrontation urbaine.
Ils étaient trois mille civils non armés à défiler vers le quartier de Bab el Oued, et se retrouvèrent donc face à un barrage militaire.
A 14h45, un lieutenant des tirailleurs vient les prévenir, ou plutôt les supplier :
« dispersez-vous, nous avons ordre de tirer».
Quelques minutes après, les armes automatiques crépitent vers la foule. Une centaine de Français, hommes, femmes, enfants, furent abattus (certains achevés à terre) et plusieurs centaines furent blessés par les balles françaises. Ils sont tombés victimes de la haine gaulliste.
Ce que les Soviétiques n’ont pas osé à Budapest fin octobre 1956, les criminels gaullistes l’ont réalisé : faire tirer sur les habitants, sur les civils. Des officiers et des soldats portant l’uniforme de l’armée française ont tiré, pour réduire au silence en les tuant, des Algérois français qui voulaient rester français. Crime ineffaçable et qui souille à jamais notre armée et notre nation.
En janvier 1794, le général Turreau, responsable des « colonnes infernales », écrivait à la Convention nationale (c’était donc officiel) : « il faut prendre de grandes mesures, il faut exterminer tous les hommes qui ont pris les armes, et frapper avec eux leurs pères, leurs femmes, leurs sœurs et leurs enfants. La Vendée doit n’être qu’un grand cimetière national. »
Le , tuant et incendiant sur leur passage, les colonnes des généraux républicains Cordellier et Crouzat se dirigent vers le village des Lucs-sur-Boulogne.
Mais sur le chemin, ils sont attaqués et mis en fuite par les troupes royalistes et catholiques de Charette.
Cependant, après sa victoire, Charette, obligé de pratiquer la guérilla, doit se retirer.
Martincourt, un lieutenant de Cordellier, s’en aperçoit et après avoir rallié plusieurs fuyards, se dirige vers le village des Lucs (alors divisé en deux paroisses : le Grand-Luc avec deux mille habitants et le Petit-Luc, avec une centaine d’habitants) avec l’intention d’y exercer des représailles.
Face à l’arrivée des colonnes, une partie de la population court se réfugier dans la chapelle du Petit-Luc alors qu’une autre partie a déjà été massacrée.
Les villageois ne sont guère en mesure de se défendre : la population présente compte principalement des vieillards, des femmes, des enfants dont 109 avaient moins de 7 ans.
L’abbé Voyneau, curé du Petit-Luc, se présente alors aux soldats sur le chemin de la Malnaye : ceux-ci se saisissent de lui, le torturent et l’éventrent.
Martincourt, le chef des Républicains, décide de ne pas faire de quartier. La chapelle étant trop petite pour contenir toute la population, les soldats ouvrent le feu sur les personnes à l’extérieur, puis afin d’économiser les cartouches, lancent une charge à la baïonnette massacrant et achevant les blessés. Les survivants se barricadent à l’intérieur de la chapelle, les Républicains incendient alors l’église.
Un soldat républicain, nommé Chapelain, écrit dans une lettre :
« Aujourd’hui journée fatigante, mais fructueuse. Pas de résistance. Nous avons pu décalotter à peu de frais toute une nichée de calotins. Nos colonnes ont progressé normalement. »
On retrouvera plus tard un document du curé du Grand Luc : « Lesquels noms ci-dessus — au nombre de 564 — des personnes massacrées en divers lieux de la paroisse du Grand-Luc, m’ont été référés par les parents échappés au massacre, pour être inscrits sur le présent registre, autant qu’il a été possible de les recueillir dans un temps de la persécution la plus atroce, les corps morts ayant été plus d’un mois sans être inhumés dans les champs de chaque village du Luc : ce que j’atteste comme trop véritable, après avoir été témoin oculaire de ces horreurs et exposé plusieurs fois à en être aussi la victime. Au Luc, ce 30 mars 1794. C. Barbedette, curé du Luc. »
Les noms des 109 enfants des Lucs-sur-Boulogne de moins de 7 ans, massacrés par les troupes républicaines, le 28 février 1794 :
Et signait des « accords de paix » – ce qui fut vécu par de nombreux catholiques comme une trahison – aux conséquences sanglantes.
Il demandait aux Indiens catholiques, qui s’étaient légitimement révoltés face au gouvernement socialiste et franc-maçon violemment antichrétien, de déposer les armes, sous peine d’excommunication !
Dans cette vidéo, Vincent Reynouard s’intéresse au Droit international (en vigueur en 1944) ainsi qu’aux préceptes de la morale afin de savoir si les bombardements alliés de 1944 au-dessus de la Normandie étaient, ou non, défendables.
Puis il cite une partie des protestations élevées en 1944 par les évêques afin de condamner les bombardements alliés meurtriers. Il rappelle ensuite comment, en 1945, les Alliés ont détourné l’attention des peuples de leurs crimes en orchestrant une gigantesque propagande autour des photos prises à la libération des camps. Enfin, il pointe du doigt les terribles conséquences actuelles de cette stratégie alliée qui, finalement, reposait sur un faux précepte moral : « la fin justifie les moyens ».
Les merdias français (?) rendent un hommage unanime à Santiago Carrillo, qui fut le leader historique du communisme espagnol et qui vient de rendre sa très laide âme à l’âge de 97 ans.
Ce qu’ils ne disent pas, ou rarement (et en évoquant une « polémique »), c’est que l’individu a été l’ordonnateur du massacre de masse de Paracuellos.
Dans cette banlieue de Madrid, en novembre 1936, des milliers de prisonniers politiques extraits des geôles madrilènes sont exécutés, sans même un jugement.
La « terreur rouge » bat son plein et il leur est reproché, souvent abusivement, d’avoir des sympathies pour la rébellion nationaliste.
Nombreux sont ceux qui sont ainsi assassinés simplement pour avoir fréquenté un collège catholique (ou y avoir étudié) ou pour leur appartenance à une famille de médecins ou d’avocats, etc.
Les meurtres des soldats « français » et des juifs de Toulouse sont absurdes et brutaux. Qui en est l’auteur ? L’avenir nous le dira certainement. Plutôt que de spéculer sur l’appartenance de l’individu à un quelconque groupe ( Islamiste, « néo-nazi », anarchiste etc…) nous pouvons déjà remarquer la différence de traitement médiatique entre cette affaire et d’autres plus ou moins similaires. Les paras assassinés étaient des allogènes, l’école où a eu lieu le massacre d’hier est juive, il est logique que la presse oriente le canon vers « l’extrême droite ». Depuis quelques heures les journalistes ressortent les vieux dossiers. Mosquée de Colommiers incendiée en avril 2008 le jour de la naissance du « Führer », l’exclusion de trois militaires pour avoir fait le salut nazi dans leur baraquement la même année et peut être que d’autres arriveront prochainement. Admettons qu’un membre plus ou moins proche de la droite nationale ou des « milieux skins » soit responsable de ces tueries, les médias parleront d’un individu motivé exclusivement par l’idéologie. Il ne sera pas qualifié de « malade mental », de « déséquilibré » ou bien même de personne « instable ». Et pourtant Nordine Amrani le tueur de Liège a eu le droit à ce genre de traitement. Plus récemment à Arras dans une mosquée où un fidèle a battu à mort un autre musulman, la presse a parlé également du « tueur fou d’Arras ». De même que le tueur de Nanterre (militant de la LDH) était « malade ».
A Liège, en Belgique, un immigré maghrébin dénommé Nordine Amrani a attaqué la foule à coups d’explosifs et d’armes automatiques. On dénombre actuellement, parmi ses victimes, 5 morts et plus de 120 blessés.
Le plus fou, dans cette histoire, c’est que cette « chance pour la Belgique » avait été condamnée, il y a 3 ans, à 5 ans de prison ferme !
Et ce pour détention, chez lui, d’une dizaine d’armes très dangereuses (lance-roquette, AK47, fusils de précision, etc.) et de 9.500 pièces (dont des silencieux), ainsi que pour la culture de 2.800 plants de cannabis !
Que fichait-il encore en liberté et dans ce pays ?!
En Italie, à Florence, un homme de 50 ans a ouvert le feu sur plusieurs étrangers africains avant de mettre fin à ses jours. Deux « vendeurs à la sauvette » ont succombé.
Les médias le présentent comme « d’extrême-droite ». Il est possible que l’homme ait « pété les plombs » face à la situation terrible dans laquelle l’immigration massive plonge l’Italie et de nombreux pays d’Europe.
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