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La France insoumise a proposé à Lyon un jeu visant à s’attaquer « au grand méchant lobby » (sic). Il semble que nos insoumis (interdit de rire) en aient oublié, à commencer par les banques et quelques autres…

Jean-Luc Mélenchon, sénateur d’extrême gauche, n’a pas peur d’afficher une position franchement raciste. Il déclare en effet, publiquement, devant une caméra : « Je ne peux pas survivre quand il y a que des blancs aux yeux bleus… c’est au-delà de mes forces »

Et si jamais un élu de droite avait osé tenir simplement la moitié d’un tel propos, mais à l’endroit d’un autre caractère ethnique, que se serait-il passé ? Ici, la complaisance des journaleux pour des propos haineux à l’égard de leur propre lignée et de leur propre sang en dit long sur la haine de soi et sur la volonté de favoriser l’émergence des facteurs de dissolution du peuple français et de la civilisation française :

Lu sur graphiline.com : « La campagne électorale actuelle est l’occasion pour les candidats, à la suite de François Bayrou, de mettre en avant le produire français.
Dans ce domaine, Jean-Luc Mélenchon s’est fait une spécialité de dénoncer les patrons voyous et les capitalistes sauvages qui délocalisent à tour de bras pour s’en mettre plein les poches, mettant en avant les ravages sociaux causés par ces attitudes.
A cet égard, les délocalisation de travaux d’imprimerie ont profondément destabilisé la filière graphique française, et notamment le secteur de l’impression de livres.
La récente liquidation des Reliures Brun, à Malesherbes, fait d’ailleurs peser sur cette activité industrielle une lourde hypothèque, tant il est vrai que le manque de capacité de production, engendré par la délocalisation de l’impression de livres, pourrait accélérer le mouvement… du fait même du manque de capacité de production : en bref, engendrer une spirale infernale…

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De gauche à droite, les politicards sont tous d’accord pour détruire la race blanche.

Merci à Braconix

Il y a encore quelques mois le « frère » Melenchon (Front de gauche) feignait de ne pas connaitre le diner du « siècle ». Désormais c’est officiel (Mélenchon le plébéien, une biographie fouillée, écrite par les journalistes Lilian Alemagna de Libération et Stéphane Alliès de Mediapart) il appartient au Grand Orient de France.
Il est donc « frère » avec les grands capitalistes qu’il fait semblant de combattre. Comment justifie-t-il cette appartenance ? C’est simple, la maçonnerie est la colonne vertébrale de la république. Extrait : « J’y suis entré en 1983 après le tournant de la rigueur qui l’a mis K.O. debout ». « Quand tout s’est cassé la figure, que reste-t-il? La République. Donc, in fine, la liberté et l’égalité », souligne l’ex-trotskiste, dont le père était également maçon.

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Mal à l’aise, le héraut de la gauche extrême et communiste nous laisse comprendre qu’il appartient à la secte maçonnique, sans vouloir le reconnaître clairement. Mais les témoignages ne manquent pas (voir la fin de la video).
Quelques propos honnêtes dans le verbiage du fanatique républicain, comme lorsqu’il dit que la « maçonnerie est la religion de la République. »

Il faut être drôlement « naïf » pour voir en lui un opposant au Système (mondialiste)…

Contrairement à son titre, tout l’intérêt de cette vidéo se trouve à la fin où le franc-mac Mélenchon feint de ne pas connaître le plus grand club d’influence de France : le Siècle.

Un « vieux loup » politique comme Mélenchon ne peut pas ignorer l’existence du dîner du Siècle… Surtout que l’existence de ce dîner a été révélée dans les années 70 par le journal communiste « L’Humanité », lecture obligatoire pour un leader de gauche à cette époque!
Enfin, la façon dont il traite Pierre Carles de « complotiste » quand celui-ci en évoque l’existence démontre bien qu’il est au courant mais qu’il ne veut surtout pas en parler.
Cet escroc de Mélenchon ne peut évoquer publiquement l’existence d’un tel groupe, de peur de devoir le dénoncer comme son image de « défenseur » des ouvriers lui ordonne. Alors il contrarierait ses maîtres et perdrait tous ses privilèges.
Il dévoile par son attitude qu’il fait bien partie, lui aussi, de ces puissants qui mettent le pays en coupe réglée malgré ses faux airs de défenseur des ouvriers.

A partir de 3 min 10 : « Tu ne connais pas le dîner du Siècle ? »

En revanche, il ne peut pas s’empêcher de dire des bêtises sur le célibat des prêtres et la peine de mort…