Un proche de Filippetti retrouvé mort

Les médias français ont annoncé la mort, à Venise, de Gilles Le Blanc, directeur adjoint du cabinet du ministre de la Culture, Aurélie Filippetti.
Rue89 s’émeut longuement de sa disparition…

Le « délicat » Gilles Le Blanc est mort en Italie d’un arrêt cardiaque, à l’âge de 43 ans. Ce qui est tôt pour décéder d’une telle mort, sauf dans les milieux de la politique et du show-business, où les modes de vie ne sont pas très « sains »…

D’ailleurs, les médias français ont jusqu’ici passé sous silence certaines informations pourtant diffusées par leurs homologues italiens, à l’image du quotidien Corriere Veneto : dans la poche de sa veste, les carabiniers ont trouvé un sachet de cocaïne.

Mort d’un baroudeur

Le journaliste français Yves Debay a été abattu jeudi par un tireur embusqué dans le nord de la Syrie, où il était en reportage.
Il a été tué d’une balle dans la tête, dans des conditions encore troubles, près de la prison centrale d’Alep, à la lisière nord de la métropole où de violents combats opposaient rebelles et soldats.

Ancien militaire belge,  puis membre des unités d’élite de l’ex-armée rhodésienne (aujourd’hui Zimbabwe) face à la rébellion marxiste, avant d’être reporter de guerre pour la revue militaire Raids pendant 20 ans, Yves Debay avait lancé en 2008 sa propre revue, Assaut, pour laquelle il multipliait les reportages périlleux, sur tous les fronts.
Personnage attachant et haut en couleur, Yves Debay était de tendance nationale et n’hésitait pas à le faire savoir (y compris dans sa revue) ni à se montrer dans les rassemblements qui vont bien.

Révolution libyenne et assassinat de Kadhafi : des motivations encore plus laides que ce qu’on croyait !

Kadhafi capturé et sur le point d'être assassiné par des agents français

Dans un entretien à Mediapart, Rami El Obeidi, ancien coordinateur du renseignement extérieur auprès du Conseil national de transition (CNT) libyen, assure que « des agents français ont directement exécuté Kadhafi ».
Selon lui, « la menace d’une révélation d’un financement de Sarkozy en 2006-2007 a été suffisamment prise au sérieux pour que quiconque à l’Élysée veuille la mort de Kadhafi très rapidement ». L’attaque aérienne ayant visé le convoi de Kadhafi était « dirigée par la DGSE et des responsables à l’Élysée ».

Mort de Santiago Carrillo, un bourreau communiste impuni

Les merdias français (?) rendent un hommage unanime à Santiago Carrillo, qui fut le leader historique du communisme espagnol et qui vient de rendre sa très laide âme à l’âge de 97 ans.

Ce qu’ils ne disent pas, ou rarement (et en évoquant une « polémique »), c’est que l’individu a été l’ordonnateur du massacre de masse de Paracuellos.

Dans cette banlieue de Madrid, en novembre 1936, des milliers de prisonniers politiques extraits des geôles madrilènes sont exécutés, sans même un jugement.
La « terreur rouge » bat son plein et il leur est reproché, souvent abusivement, d’avoir des sympathies pour la rébellion nationaliste.
Nombreux sont ceux qui sont ainsi assassinés simplement pour avoir fréquenté un collège catholique (ou y avoir étudié) ou pour leur appartenance à une famille de médecins ou d’avocats,  etc.

Il y a soixante ans : mort d’Evita Peron

à l’âge de 33 ans.

D’origine modeste, elle était devenue l’idole des descamisados argentins, c’est-à-dire des pauvres.
Sa dernière apparition en public, en fauteuil roulant, devant une foule immense et chavirée, provoqua un raz-de-marée péroniste (66% des suffrages le 11 novembre 1951). Plus de 3 millions d’Argentins passèrent devant son corps embaumé (défilé de 3 jours entiers) et plus de 2 millions de personnes assistèrent à ses funérailles.

Jean-Claude Rolinat lui a récemment consacré un ouvrage biographique, disponible ici.

Pieter Kierstens nous communique en cette occasion :

« Le 26 juillet 1952, disparaissait la madone de los descamisados (les sans- chemises), victime de la leucémie, après de longs mois de souffrances et plusieurs interventions chirurgicales. Et pour nombre d’Argentins, même après des décennies, Eva DUARTE-PERON reste une icône.

Celle qui deviendra la seconde femme du Général Juan Domingo PERON est née le 7 mai 1919 à Los Toldos en Argentine.
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Le chauffard qui a tué 2 personnes présenté comme « français »

Dimanche soir à Paris, un chauffard percute et tue une mère et sa fille de 11 ans. Il prend la fuite mais est interpellé quelques minutes plus tard au volant de sa BMW…

Selon la source proche de l’enquête, le conducteur est connu des services de police « pour 22 faits », dont la nature n’a pas été précisée. Il n’a pas le permis mais possède «un casier judiciaire», a ajouté la source judiciaire, sans plus de précisions.

Le Progrès nous le présente comme un « Français de 22 ans. »
Il s’agit en réalité d’un sri-lankais prénommé Jiyapirasanthan.

Collégien tabassé à mort : le prénom du meurtrier est…

Souleiman.

Le jeune Breton Killian (13 ans) a été tué la semaine dernière par cet étranger de 16 ans.
L’affaire, présentée comme une simple bagarre entre collégiens, avait suscitée une vive émotion.

Quant à l’agresseur, « son prénom a été balancé sur une radio le 23/6 à 3 h du matin. Inadvertance ou mauvais esprit ? Tous les autres gros médias dissimulent le prénom du meurtrier, qui n’a pas supporté que le petit soutienne son regard conquérant. » (source)

Le jeune Killian rejoint cette longue – mais non exhaustive – liste des victimes blanches de l’immigration.

Mort de Roger Garaudy

Ce mercredi 13 juin est décédé Roger Garaudy.
Né en 1913, il fut un homme politique, philosophe marxiste et écrivain.
Il fut une figure importante du Parti communiste français (un théoricien même), dont il fut exclu en 1970 pour s’être rapproché de l’extrême-gauche autogestionnaire à partir de 1968.
Il se convertit par la suite brièvement au catholicisme moderniste, avant de tomber dans l’islam.

À partir de 1996, il a fait parler de lui, car après avoir étudié la question, il avait fait part publiquement et courageusement de son incrédulité devant la version officielle de l’histoire de la Seconde guerre mondiale, et notamment la « Shoah ».
Son révisionnisme l’avait fait condamner par notre belle démocratie pour « contestation de crimes contre l’humanité », « diffamation raciale » et « incitation à la haine raciale » (sic).
Ses deux ouvrages les plus connus sont certainement Les mythes fondateurs de la politique israélienne (dispo ici) et Le procès de la liberté (dispo ici), coécrit avec Jacques Vergès.

La nécrophilie peut-être bientôt légalisée en Egypte

Dans la série « curieuses mœurs » :

« Des représentants de la majorité parlementaire islamiste en Égypte ont introduit un projet de loi qui consacre juridiquement le droit des hommes à avoir des rapports sexuels avec leurs épouses décédées dans les six heures après leur mort. La recevabilité de « sexe d’adieu » découle de l’idée que le mariage reste pour eux valable « même après la mort ». »

Source

L’illusion du bonheur des invertis militants

Bob Bergeron était une vedette chez les « gays » (invertis militants) américain.
Ce psychothérapeute bodybuildé jouissait en particulier d’une grande notoriété dans le « milieu » new-yorkais.
Cinquantenaire fringuant, il tachait de remonter le moral de ses patients invertis, souvent traumatisés à l’idée de voir leur corps vieillir…
Bob Bergeron était le chantre du « bien-être gay ».

Récemment, il avait même fini d’écrire un livre de conseils : Le bon côté de la quarantaine: le guide du bonheur pour les gays de quarante ans et plus.

Juste avant la parution de son livre déjà médiatisé, il s’est suicidé.
Avouant dans un mot d’adieu que sa réthorique n’était que foutaises, il témoigne – hélas pour lui – que le mode de vie « gay », basé sur des antivaleurs, ne mène qu’au malheur dès ici-bas.

Source

François Brigneau est décédé.

François Brigneau

« François Brigneau, de son vrai nom Emmanuel Allot, est né le 30 avril 1919 à Concarneau. Il est décédé dimanche près de Paris.
C’est sous les pseudonymes de Julien Guernec et surtout François Brigneau qu’il participa, toute sa vie durant, au combat nationaliste. Né dans une famille plutôt de gauche et anticléricale, la rumeur disait qu’il fut baptisé clandestinement contre la volonté de son père. Il n’hésita pas, en juin 1944 à s’engager pour défendre l’Etat français.
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Circoncision : un bébé meurt après qu’un rabbin lui a sucé le pénis

[L’info n’a pas assez circulé à notre goût, éclipsée par l’affaire Merah, alors on la remonte]

A un moment, durant le rituel « traditionnel » de circoncision juive talmudiste, le rabbin ou son assistant suce le pénis mutilé du bébé pour en récupérer le sang…
Nous ne nous ferons pas ici d’analyse psychologique autour de ces curieuses mœurs (cf les travaux d’Hervé Ryssen) – qui n’ont rien à faire en France – mais évoquerons simplement le danger sanitaire avec ce cas qui a été ébruité aux Etats-Unis.

Un bébé américain est en effet décédé à la suite d’une opération de circoncision. L’enfant est mort à Brooklyn, en septembre 2011, alors qu’il était âgé de deux semaines. La police a ouvert une enquête pour déterminer les responsabilités de ce drame.
Il s’est avéré qu’en suçant le sang du pénis de l’enfant, le rabbin lui a transmis un herpès mortel…

A Contre-info, on s’inquiète beaucoup pour les petits-fils du président Sarközy.

Video :
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Elle tue son bébé pour pouvoir jouer aux jeux videos. C’est beau le progrès.

Une Sud-Coréenne de 26 ans accro aux jeux vidéo a été arrêtée jeudi dernier pour avoir tué son bébé, né entre deux parties dans un cybercafé de Séoul.
Entre deux parties, elle s’est rendue aux toilettes. Selon la police, elle y a accouché puis a mis le nouveau-né dans un sac plastique avant de s’en débarrasser dans un parking voisin.
En Corée du sud, 2 millions de personnes sont dépendantes aux jeux.
Fin 2010, une mère y avait tué son fils de trois ans afin de jouer sans être dérangée par ses pleurs. Et quelques mois auparavant, un couple avait laissé mourir de faim son bébé de trois mois car ils étaient trop pris à s’occuper d’un enfant virtuel, provenant d’un jeu.  (source)

Mort du directeur de « Sciences-Po »

Le médiatique Richard Descoings, directeur du prestigieux établissement censé former « l’élite » de la nation, a été retrouvé mort hier soir dans un hôtel de Manhattan (E-U), à l’âge de 53 ans.
Le décès est suspect (affaires cassées, plusieurs personnes présentes) même s’il y a peu d’éléments pour l’instant, et – si la prudence est de mise – beaucoup pensent secrètement à une affaire de mœurs, au vu de la personnalité de Descoings.
Il n’a pas fallu longtemps pour qu’il soit l’objet d’éloges de la part de la classe médiatico-politique dont il incarnait les aspirations.

Inverti notoire (déclarant, en tant que prof, « en amphi qu’il était “le premier pédé de Sciences-Po” ») – bien que marié – et partisan de la dégénérescence des mœurs, il avait rendu obligatoire à Sciences-Po l’étude de la délirante théorie du gender. Une première parmi les grandes écoles.
Descoings était aussi un xénophile forcené, hostile à l’identité nationale. Tenant de la « discrimination positive » (sic), il avait favorisé l’entrée des citoyens étrangers dans l’école (40% du total actuel !) sans parler des étrangers à papiers français derrière lesquels il courrait, notamment ceux des ZEP.
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« Silence, on vaccine »

Les vaccinations obligatoires ou encouragées représentent un énorme pactole pour l’industrie pharmaceutique.
Pourtant, l’inocuité vacicnale est un mythe et les injections provoquent parfois de lourds dégâts sur la santé des enfants, entraînant à l’occasion séquelles ou même décès.
Ce documentaire, sans être hostile au principe de vaccination, s’interroge et met en garde.
Il est en tout cas certain que les enfants sont sur-vaccinés.

Synopsis :

De nos jours, l’enfant nord-américain reçoit environ 48 doses de 14 vaccins différents avant l’âge de six ans, soit le double du nombre prescrit 25 ans auparavant.
Un documentaire qui donne la parole à des victimes de la vaccination, ainsi qu’à des chercheurs et des spécialistes des domaines médical et juridique au Québec, en France et aux États-Unis.
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