Alors qu’il n’y avait aucune polémique de quelque sorte sur la sortie de son livre, alors que son livre apportait une critique au discours antiraciste et négationniste à l’endroit des races, le jeune Christophe Bentz a été tout bonnement démis de ses responsabilités de chef des Jeunes Pour la France (mouvement jeune du MPF) par Philippe de Villiers, que l’on croyait désormais en retrait de la vie politique.
Que nenni, l’ancien président du conseil général de Vendée est donc sortie de sa réserve pour définitivement saborder ce qu’il restait de son parti, en sacrifiant volontairement la relève de ses cadres et l’un des rares jeunes encore fidèle à ce parti moribond.
« Son livre regorge de maladresses sémantiques qui ne me plaisent pas (…) il explique qu’il est contre l’apologie de la race mais son livre commence précisément par cela: c’est incohérent et ça ne se situe pas du tout dans l’esprit des combats que je mène (sic) » déclare-t-il, selon Le Figaro.
« J’ai toujours dit que la France était une civilisation, pas une race. »