ABCD de la complémentarité : le pied-de-nez controversé de Farida Belghoul au ministère de l’Éducation nationale

FaridaNajat Vallaud-Belkecem et ses chevaliers du Gender ont imposé à l’école l’ABCD de l’Égalité, qu’on ne présente plus.

Farida Belghoul et ses soutiens proposent désormais les ABCD de la complémentarité. La fondatrice des Journées de Retrait de l’École s’était déjà fait remarquer en intitulant un de ses livres Papa porte un pantalon et Maman porte une robe, détournement de Papa porte une robe, l’un des ouvrages phare des fameux ABCD de l’Égalité…

Complémentarité vs indifférenciation des sexes, c’est le cheval de bataille de tous les parents qui refusent qu’on enseigne à leurs enfants les idées pro-genre. Le combat passera notamment par des séances de lecture de contes traditionnels en dehors du temps scolaire.

Une démarche portée à la fois par Farida Bleghoul et les JRE et par la Fédération Autonome de Parents Engagés et Courageux (FAPEC), collectif de parents désireux de faire entendre leur voix au sein des écoles.

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Najat Vallaud-Belkacem : Les berbères à l’Elysée ? « Inch’Allah »

 

Cette vidéo, tournée à l’occasion des voeux de 2009, lorsque Najat Vallaud-Belkacem n’est encore qu’adjointe à la mairie de Lyon en dit long sur l’importance que le nouveau ministre de l’Education Nationale accorde à la promotion de la culture berbère en l’occurence et des cultures étrangères en général.

Le journaliste exalte ses origines étrangères dans une logique de conquête très claire, et Najat se plie au jeu sans hésiter :

« Les berbères à la mairie de Paris, les berbères à la mairie de Lyon, les berbères au Sénat et demain à l’Elysée ? » lui demande le journaliste, ce à quoi elle répond : « Inch »Allah »…

Elle ajoute par ailleurs : « les berbères sont très heureux lorsque l’on valorise leur langue, leur culture et leurs traditions »…

Faut-il donc lui préciser que nous attendons des politiques français une préoccupation pour la langue, la culture et les traditions françaises ?

Nos têtes blondes sont entre de bonnes mains donc entre la théorie du genre et l’exaltation de cultures étrangères…

 

Remaniement : la provocation Najat

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François Hollande et Manuel Valls, au plus bas dans les sondages, se paient le luxe d’un remaniement alors que le chômage et la délinquance continuent à exploser : 48h de discussions en tous sens pour aboutir à un changement aussi insignifiant que provocateur.

Emmanuel Macron à l’Economie, Najat Vallaud-Belkacem à l’Education Nationale et Fleur Pellerin à la Culture.

Voilà les trois grandes nominations du gouvernement Valls II, annoncé en fin de journée par le secrétaire général de l’Elysée Jean-Pierre Jouyet. Ils prennent respectivement les places des démissionnaires Arnaud Montebourg, Benoît Hamon et Aurélie Filippetti.

Trois changement seulement mais une provocation de plus avec le poste de Najat Vallaud-Belkacem, sans compter le fait que François Hollande nomme à l’Economie un ancien banquier d’affaires chez Rothschild, deux ans et demi après avoir clamé que la finance était son ennemi…

En Mars, Hollande avait choisis de reconduire Christiane Taubira quelques jours après qu’elle ait ouvertement menti devant les Français et quelques mois après qu’elle ait donné son nom à une loi inique qui n’aura eu de cesse de diviser le pays.

Il la garde encore une fois et va plus loin : Najat Vallaud-Belkacem, grand maître de la théorie du genre et des luttes contre l’ordre établi et la loi naturelle au ministère de l’Education Nationale.

Quelques jours avant la rentrée scolaire ils balaient d’un revers de main les inquiétudes de milliers de parents qui avaient retiré leurs enfants de l’école l’année dernière lors des Journées de Retrait de l’Ecole et font la promesse d’une place toujours plus grande faite à l’idéologie dans les écoles, après avoir terminé l’année scolaire en promettant l’extension des ABCD de l’égalité rebaptisés à toute la France.

Le message du gouvernement est clair : on garde les mêmes, on garde le cap, mais il est certains sujets sur lesquels on accélère…

Nous sommes prévenus.

 

Gouvernement Valls II :

Laurent Fabius, ministre des Affaires étrangères et du développement international

Ségolène Royal, ministre de l’Ecologie, du Développement durable et de l’Energie

Najat Vallaud-Belkacem, ministre de l’Education nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche

Christiane Taubira, garde des Sceaux, ministre de la Justice

Michel Sapin, ministre des Finances et des comptes publics

Emmanuel Macron ministre de l’Economie, de l’Industrie et du Numérique

Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales et de la Santé et du Droit des Femmes

François Rebsamen, ministre du Travail, de l’Emploi et du Dialogue social

Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense

Bernard Cazeneuve, ministre de l’Intérieur

Patrick Kanner, ministre de la Ville, de la Jeunesse et des Sports

Marilyse Lebranchu, ministre de la Décentralisation et de la Fonction publique

Fleur Pellerin, ministre de la Culture et de la Communication

Stéphane Le Foll, ministre de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt

Sylvia Pinel, ministre du Logement et de l’Egalité des territoires

George Pau-Langevin, ministre de l’Outre-mer.

Humour : Najat Vallaud-Belkacem vient fêter Jeanne d’Arc à Rouen

Les fêtes de Jeanne d’Arc 2013 seront cette année présidées à Rouen par Najat Vallaud-Belkacem. Le samedi 25 mai, à l’issue d’une messe célébrée par l’archevêque de Rouen en la cathédrale de la capitale normande, Mgr Descubes, assisté du nonce apostolique en France, Luigi Ventura, le ministre des Droits de la femme prononcera un discours en l’honneur de cette héroïne nationale, brûlée sur une place de la ville le 30 mai 1431.

On se demande bien ce que le ministre peut avoir en commun avec sainte Jeanne d’Arc ! D’abord, Jeanne d’Arc agit « en nom Dieu« , « au nom Christ qui est Roi de France« . Pas de quoi ravir le chantre de la laïcité qu’est Madame Najat Vallaud-Belkacem.

Ensuite, Jeanne d’Arc agit pour rétablir dans ses droits, sur le trône de ses pères, « le gentil dauphin« , « lieutenant du Christ« . La encore, rien qui ne rentre en consonance avec les aspirations très républicaines de madame le ministre.

Enfin, Jeanne d’Arc met en fuite l’envahisseur anglais, assurant qu' »elle aime les anglais, mais chez eux« . Pas de quoi flatter non plus l’universalisme républicain du ministre cosmopolite, son sens de l’accueil de l’autre et de la différence, son ouverture à l’étranger. Car en fait d’invasion, celle que subit imperceptiblement la France d’aujourd’hui a pour levier l’immigration de masse et la démographie : et cette invasion, beaucoup plus sournoise, a la bénédiction du ministre…

En un mot, madame Vallaud-Belkacem est l’anti-Jeanne d’Arc.

« Mariage » homo : Vallaud-Belkacem embrouille les lecteurs du Monde

Najat Vallaud-Belkacem, le porte-parole du gouvernement, a déclaré au Monde : « Regardez qui étaient les manifestants anti-CPE. C’était les jeunes eux-mêmes, qui considéraient que la mesure allait leur retirer des droits. Aujourd’hui, qui sont les manifestants anti-  » mariage pour tous  » ? Ce sont des gens, des familles, des Français à qui la réforme du mariage pour tous ne va rien retirer et qui viennent au fond manifester contre des droits conférés à d’autres. »

Deux réflexions madame le porte-parole. D’une part, vous avez raison lorsque vous soulignez que les opposants au « mariage » homosexuel ne manifestent pas pour satisfaire des intérêts égoïstes ou pour obtenir des droits individuels : et c’est précisément là leur honneur, c’est là la grandeur de leur combat ! Car ils ne se battent pas pour eux-mêmes ; ils se battent pour les futures générations, ils se battent pour un idéal et une civilisation !

D’autre part, vous vous trompez lorsque vous affirmez que les opposants au projet de loi sont « des gens, des familles, des Français à qui la réforme du mariage pour tous ne va rien retirer et qui viennent au fond manifester contre des droits conférés à d’autres ». Que faites-vous en effet du droit de l’enfant à avoir un papa et une maman ? Votre projet de loi introduit naturellement une discrimination pour les enfants : certains auront deux pères ou deux mères, d’autres auront un père et une mère…selon le bon vouloir des adultes.

Et c’est tout le scandale de ce projet de loi qui fait de l’enfant l’objet de la loi : car la perspective du législateur, le point de vue qu’il adopte, est celui de l’adulte, au service des désirs duquel il met la loi. Et ce, au détriment du bien et de l’équilibre de l’enfant, ici totalement étrangers à la démarche du législateur. Scandaleux !

« Mariage » homosexuel : quand Peillon prend les cathos pour des cons…

Vendredi, Vincent Peillon écrivait aux recteurs d’académie au sujet du débat sur le mariage homosexuel, les exhortant «à la retenue et à la neutralité au sein de tous les établissements afin que ne fasse l’objet d’aucune instrumentalisation». Le ministre de l’Education ajoutait en outre dans le Monde : «Il ne me semble pas opportun d’importer dans l’école le débat sur le mariage pour tous. Je considère même qu’en adressant une lettre aux chefs d’établissement, le secrétaire de l’enseignement catholique a commis une faute».

Peut-être faudra-t-il rappeler au ministre qu’en 1984, la rue a fait reculer le projet visant à supprimer l’école libre. Et que « école libre » a un sens, quoique le ministre pense de celui-ci. Notez que si les établissements d’enseignement catholique commence à relayer l’enseignement de l’Église, mais où va-t-on ?

Mais le plus insupportable, c’est le sectarisme de la gauche. Car en octobre dernier, Najat Vallaud-Belkacem ne s’interdisait aucun prosélytisme auprès des élèves : en visite dans une école du Loiret, elle présentait le mariage homosexuel comme «une avancée» : «Cela va permettre plus d’épanouissement. Plus de liberté. Plus d’égalité dans la société», a-t-elle dit à une assistance d’une dizaine de collégiens. A voir ici :


Najat Vallaud-Belkacem dans un collège pour… par BFMTV

Belkacem s’oppose courageusement à l’UOIF…

Naja Vallaud-Belkacem s’en est prise ce matin à l’Union des organisations islamiques de France (UOIF), dénonçant vigoureusement leur dérapage. L’organisation musulmane mettait effectivement en garde contre le « mariage » homosexuel, lequel pouvait ouvrir la voie, selon elle, à un « risque de zoophilie ».

«Les propos de l’UOIF sont évidemment un dérapage, une violence langagière terrible pour les principaux intéressés mais pas seulement, pour la société tout entière», a déclaré le porte parole du gouvernement sur BFMTV/RMC. S’empressant tout de même de souligner avoir déjà «entendu des musulmans appeler à bien respecter la distinction entre ce qui est religieux et ce qui relève du civil, bien respecter la laïcité dans ce pays».

Le malheur, Madame le Ministre, c’est qu’en l’occurrence, l’argumentaire de l’UOIF n’est pas religieux, il n’invoque aucun dogme : il repose sur une donnée anthropologique et sur un raisonnement logique. Car si le mariage ne se construit plus autour de la différence et de la complémentarité sexuelle pour organiser la filiation, si le seul ressort du mariage est l’amour, argument auquel les partisans du « mariage » homosexuel ont niaisement recours, alors il n’y a plus de limite : et l’on peut aussi bien, à cette école, envisager la légalisation de l’inceste. Puisqu’on vous dit qu’ils s’aiment…

Que madame Belkacem rebondissent donc sur cet argument afin d’y répondre, permettant ainsi la poursuite de la discution. Au lieu de disqualifier a priori son contradicteur en invoquant un « dérapage« . C’est trop facile. A ce jeu là, chacun voit évidemment midi à sa porte : et pose alors ses propres balises, délimitant ainsi le chemin duquel on ne peut sortir qu’en dérapant…. Cessez donc une fois pour toutes vos éléments de langage , madame : ils ne font que voiler l’indigence de votre argumentation.

Jean de Rouen

Najat Vallaud-Belkacem s’en prend à Harlem Désir

Le porte-parole du gouvernement, Najat Vallaud-Belkacem, a considéré ce matin que le débat sur le mariage homosexuel était «légitime»,  dans la mesure où «ce projet de loi touche à des choses – la conception de la famille, la conception de la filiation – qui touchent à coeur chacun». Elle a cependant mis en garde contre un débat émaillé d’insultes, taclant sans doute le premier secrétaire du parti socialiste, Harlem Désir, lequel avait traité d’homophobes les opposants de droite au «mariage» homosexuel.

La gauche a en effet du mal à rompre avec les vieilles méthodes staliniennes qui consistent à disqualifier l’adversaire en usant d’étiquettes peu élogieuses.  «Quand on veut noyer son chien, on l’accuse de la rage», constate en effet la sagesse populaire. Mais madame le ministre a raison : il faut adopter une démarche constructive si l’on veut faire aboutir le débat, évitant ainsi les poncifs et autres attitudes rhétoriques ou irrationnelles. Car ce qui est en jeu, à travers le débat sur la famille et la filiation, c’est la pérennité  d’une communauté naturelle qui fonde et structure la nation, et plus encore, c’est une vison de l’homme qui engage l’avenir d’une civilisation.

Ah pardon. Je n’avais pas terminé l’analyse du ministre du droit des femmes. Elle poursuit en effet : »Ce que nous ne voulons pas, explique-t-elle, c’est que le débat ressemble à celui qu’on a connu en 1999 au moment du Pacs : une succession de dérapages langagiers, d’insultes, de violences verbales« . L’hôpital qui se fout de la charité, c’est où déjà ?