Cette année, le pouvoir en place a décidé de cacher aux Français les chiffres de la criminalité du 31 décembre, et en particulier le nombre de voitures brûlées (environ 1150 chacune de ces deux dernières années).
Cependant, ça et là des faits ressortent, des nombres de véhicules incendiés sont révélés, et l’on comprend que – loin de la nuit « calme » qu’ont évoquée éhontément gouvernement et médias – le 1er janvier a eu un goût amer pour nombre de familles françaises abandonnées à la criminalité. Une voyoucratie dont on ne peut bien sûr évoquer les origines.
Quelques exemples de faits significatifs qui se sont déroulés dans la nuit du 31 au 1er :
– Au Blanc-Mesnil (93), l’animateur d’une soirée a été laissé pour mort après avoir été tabassé par une dizaine de personnes. Elles lui reprochaient d’avoir refoulé l’une d’entre elles. Le DJ est actuellement entre la vie et la mort. (source)
– A Paris, une jeune femme russe de 21 ans rentrant de soirée a été kidnappée, rouée de coups et violée à plusieurs reprises avant d’être relâchée au matin. (source)
– A Rennes, le pronostic vital d’un jeune homme est engagé après qu’il a été frappé d’un coup de couteau dans la région du coeur. Une altercation entre deux groupes de jeunes sur fonds d’injures envers jeunes filles est à l’origine du drame. (source)
– A Paris, dans le quartier immigré de Clichy, une mère de famille a été tuée et sa fille blessée par un chauffard. Cette famille danoise était venue passer le réveillon dans la capitale. (source)
– Au moins 16 membres des forces de l’ordre ont été blessées et 500 personnes interpellées, alors qu’un dispositif policier exceptionnel avait été déployé. (source)
C’est ça la fête, pour la « France d’en bas » dans la « France d’après » !