Sainte Geneviève*, née à Nanterre en 423 (et décédée en 512), voue très jeune sa virginité à Dieu.
Elle est très vite remarquée par saint Germain d’Auxerre et saint Loup de Troyes, qui passent par Nanterre en 429 (elle n’a que six ans), à l’occasion de leur voyage vers la province romaine de Bretagne (Grande-Bretagne actuelle).
Elle mène une vie consacrée et ascétique, probablement dès ses seize ans.
De son père, franc, dont elle est la fille unique, elle a une charge de membre du conseil municipal de Paris.
Lors du siège de Paris par les Huns, en 451, elle convainc, aidée par sa grande force de caractère, les Parisiens de ne pas abandonner la ville (leur sauvant probablement la vie car toute fuite aurait été très périlleuse) :
« Que les hommes fuient s’ils veulent, et s’ils ne sont plus capables de se battre. Nous, les femmes, nous prierons Dieu tant et tant qu’Il entendra nos supplications. »
Ex-adjoint d’Anne Hidalgo à Paris, Pierre Aidenbaum a été mis en examen pour « viol » par personne ayant autorité et « agressions sexuelles » nous apprend Le Figaro. C’est donc le deuxième ex-maire adjoint d’Anne Hidalgo mis en examen dans une affaire sordide.
Cette mairie, qui avait été qualifiée de « Pédoland » par des manifestants se contente de déclarer : « La Maire de Paris prend connaissance de cette mise en examen pour des faits extrêmement graves. Elle demande à l’intéressé de démissionner immédiatement de son mandat de conseiller de Paris », a indiqué la mairie à l’AFP. Consternant !
Christophe Girard qui a été maire-adjoint à la culture jusqu’à juillet 2020, c’est-à-dire reconduit dans ses fonctions après les dernières élections municipales de juin, est accusé de viol sur mineur. Cela fait suite à la polémique concernant sa relation avec le pédomane Matzneff.
Rappelons brièvement les faits.
Fin 2019, l’écrivain Gabriel Matzneff a été convaincu publiquement de pédophilie à la suite du livre d’une de ses anciennes victimes. Le livre révélait ce que le tout Paris savait déjà, mais, cette fois-ci, l’opprobre frappa l’écrivain (partiellement toutefois : insistant sur sa prédation envers les adolescentes et pré-adolescentes, mais pas sur ses crimes envers des garçonnets) et cela allait éclabousser six mois plus tard l’un de ses meilleurs amis, Christophe Girard, maire-adjoint d’Anne Hidalgo.
Girard, plutôt que d’assumer la réalité prétendit que Matzneff n’était pas son ami, qu’ils ne se connaissaient que très peu et cette version a été celle que Hidalgo retint puisqu’elle n’a pas hésité à reconduire Girard dans ses fonctions après les dernières municipales du printemps dernier.
Les reptations de la part des élus devant Israël, qu’ils soient socialistes ou « Les Républicains » n’en finissent pas. Pour preuve, ce soir, c’est l’hôtel de ville de Paris qui a été souillé par la projection du drapeau de l’entité sioniste sur sa façade. L’explication de cela ? Le fait que quatre soldats israéliens aient été tués par un camion fou à Jérusalem, le 8 janvier dernier. Difficile de parler « d’attentat » dans la mesure où les civils n’ont nullement été visés dans cet acte, tout répréhensible qu’il soit, mais seulement des militaires. Rappelons qu’Israël est en guerre, qu’il bombarde sans relâche ses voisins quels qu’ils soient (Palestiniens, Syriens, Libanais,…) causant des centaines de morts parmi les habitants de ces pays (et pas seulement des militaires), qu’il se vante lui-même régulièrement de tuer des dirigeants politiques qui ne lui siéent pas. Rappelons aussi qu’Israël ne respecte pas le droit international, ce pays ayant été condamné par l’ONU le 23 décembre dernier pour les colonies qu’il ne cesse de multiplier hors de ses frontières, en Palestine en l’occurrence (le conducteur du camion fou était un Palestinien originaire de Cisjordanie), sans compter toutes les résolutions non respectées par cet Etat depuis sa création. Dans ces conditions, que des soldats israéliens soient visés par des opérations paraît guère surprenant, même si nous le déplorons fortement !
L'hommage de la ville de Paris aux victimes de l'attentat de Jérusalem avec le drapeau israélien sur l'hôtel de ville. pic.twitter.com/FcluKpKNR2
Nous vous proposons une vidéo qui n’a pas été tournée à Bamako ou Dakar, mais bien à Paris 18, rue Dejean précisément, le 22 juin dernier.
La rue est grouillante de monde bruyant, des vendeurs à la sauvette proposent leur camelote en utilisant des cartons posés à même le sol pour servir d’étals… Bref, on l’aura compris, on est loin des villes et des villages proprets d’antan.
Pour couronner le tout, une dispute éclate dont nous ignorons les motifs. La police sera appelée, mais sera incapable de faire revenir le calme, l’algarde semblant se déplacer dans une rue adjacente…
Il y a 4 jours, tout Paris était en émoi. Pensez donc : Sur de nombreuses voitures stationnées, avait été marqué en gros le terme « JUIF » à la peinture. L’indignation, largement relayée par les media, était à son comble avant un silence radio total. Pour quelle raison ? C’est Yves Daoudal, sur son blog, qui vend la mèche : Le coupable, arrêté en flagrant délit, est juif.
En fait, un article de Metro News nous en dit un peu plus. Il s’agit d’un homme de 76 ans, connu de la police et qui, « en plus, revendique son geste » selon un témoin. Il faut savoir que l’été dernier, il se serait en effet rendu à deux reprises au commissariat du 16e arrondissement pour dénoncer des propos antisémites. En effet, les actes se multipliaient : En juillet cet homme accompagné de sa femme avait été voir la police pour signaler la présence de croix gammées sur leur boîte aux lettres, sur leur palier et sur la porte de leur logement. En août, ils auraient porté plainte pour dénoncer les mêmes faits.
Six mois plus tard, en décembre, de nouvelles inscriptions sont retrouvées dans le HLM. « Sale juif », croix gammée et autres tags sont constatés sur les murs du bâtiment. Idem en janvier. « Ça commençait à faire beaucoup, précise une source proche du dossier. Plusieurs personnes ont été interrogées et des tests d’écriture ont été réalisés… C’est là que les policiers ont estimé qu’il y avait quelque chose de vraiment bizarre dans cette histoire. »
En effet, en comparant les écritures, les enquêteurs ont trouvé que celle du plaignant était étrangement similaire à celle retrouvée sur les murs et la boîte aux lettres de l’immeuble notamment. « Autre coïncidence, le couple B. a indiqué qu’il était parti un moment de son logement pour se protéger. Pendant cette période, il n’y a eu aucune inscription, relève la source proche du dossier. Les policiers étaient convaincus que c’était lui, mais il leur manquait une preuve. Avec ce flagrant délit, ils ne pouvaient être mieux servis. »
En réalité, tout cela aurait été fait car le couple souhaite changer de domicile, ce que ces actes antisémites auraient pu faciliter (le couple vit dans un logement social)… Il paraît que les riverains sont sous le choc et, aux dernières nouvelles, l’homme serait présenté à un psychologue.
Depuis ce matin, un « arbre » est exposé sur la place Vendôme, que tous les internautes et Parisiens ont rapidement identifié comme n’étant pas du tout un innocent sapin comme veulent le faire croire les « artistes » à l’origine de cette horreur, mais bien un plug anal.
Impossible de ne pas voir la connotation sexuelle de cette « œuvre » lorsque l’on découvre les autres horreurs de l’ « artiste », Paul McCarthy, amateur par ailleurs d’art pédo-pornographique…
On connaît tous les mésaventures de Frigide Barjot qui a bénéficié des années durant d’un logement social à prix défiant toute concurrence pour elle et son mari dans les plus beaux quartiers de Paris. Quand elle était l’égérie de La Manif Pour Tous, la justice l’avait condamnée à être expulsée, mais, celle-ci étant rentrée dans le rang, il semble que la décision de justice n’ait pas été exécutée et qu’elle continue donc à résider dans son duplex de 173 m², avec terrasse et vue sur la tour Eiffel. Rien de nouveau dans la ripoublique, cette dernière sait récompenser ses agents.
Et Frigide Barjot n’est pas un cas isolé. Les élus parisiens (PS, EELV, Front de Gauche ou UMP) -qui ne cessent de parler d’égalité- profitent eux aussi sans vergogne du logement social en dépit de leurs revenus confortables. Ainsi un article du Point nous apprend que « Antoinette Guhl, adjointe à mairie de Paris et conseillère générale EELV, occupe un appartement géré par la Régie immobilière de la Ville de Paris (RIVP) dans le 20e arrondissement. Dans cette résidence, calme et arborée, située à deux pas de Ménilmontant, elle bénéficie de l’un des plus grands appartements, à en croire ses voisins. Mais l’élue a bonne conscience. »
Didier Guillot, conseiller municipal PS du 18e arrondissement vit, quant à lui, depuis 2000 dans un appartement de 113 m², géré par la RIVP, loué 1 900 euros. Dans le privé, il lui en coûterait au minimum 2 500 euros. Chose aggravante, il s’agit là de son deuxième logement social. Didier Guillot avait obtenu le premier en 1997 alors qu’il était salarié du conseil régional d’Ile-de-France.
Conseillère de Paris déléguée à la petite enfance et à l’innovation citoyenne, Anne-Christine Lang bénéficie d’un logement social dans le 13e arrondissement parisien. Obtenu en 1999, lorsqu’elle n’exerçait aucun mandat, cet appartement de 110 m² serait là encore loué à un prix inférieur à celui du marché.
Plus amusante est la réaction de Raphaëlle Primet (Front de gauche), qui occupe un appartement HLM « de base » dans le 20e arrondissement de Paris. Contactée par Le Point.fr, elle s’en défend : « Ma situation est très particulière. (…) Je dois bientôt passer devant une commission. Il se peut que je sois contrainte de payer un surloyer » se justifie-t-elle. Mais Raphaëlle Primet n’est pas prête à quitter cet appartement obtenu au bout de dix longues années d’attente. Pour elle, partir reviendrait à trahir ses électeurs nous apprend Le Point.
Les élus de gauche ne sont pas les seuls à être présents à la gamelle, ceux de l’UMP ne sont pas en reste. Avec des arguments tout aussi déroutants. Ainsi, Nathalie Fanfant, élue UMP du 20e arrondissement, bénéficie elle aussi d’un logement géré par la RIVP dans le 19e arrondissement. Jointe par Le Point.fr, elle indique être à la recherche d’un bien dans le privé. Mais pour l’heure, elle n’a pas dégoté la perle rare. La faute aux loyers prohibitifs. « Me priver de mon appartement reviendrait à interdire la politique à toutes les personnes gagnant moins de 10 000 euros par mois » réplique-t-elle. Avant de raccrocher, Nathalie Fanfant tient à rappeler « la précarité d’un élu pour qui une réélection n’est jamais assurée. » Elle nous arracherait presque une larme si on ne se rappelait pas que sa précarité politique s’élève à 4 186 euros bruts par mois.
Dans la video ci-dessous, on voit la manifestation spontanée des camarades de Clément Méric, « jeune étudiant pacifique », « élève modèle tué pour ses idées ».
Que pense le sourcilleux Valls de leurs slogans ?
« Flics, fascistes, assassins ! »
« Un flic, une balle, justice sociale ! »
« A bas l’Etat, les flics et les fachos ! »
« Mort aux fachos ! » (attention, dans leur cas il ne s’agit pas d’ « appels à la violence »…)
A 3’25, la racaille antifa essaie de s’en prendre à l’église Saint Nicolas du Chardonnet, mais est bloquée par des CRS.
Hier à Paris, près de Saint Lazare, une rixe a opposé quelques jeunes nationalistes (dont une femme, pas encore identifiés) à plusieurs militants d’extrême-gauche (se faisant appeler « antifas ») qui semble-t-il les ont provoqué et menacé, les attendaient, et qui ont porté les premiers coups.
Cela s’est produit à l’issue d’une vente privée de vêtements Fred Perry, où l’année dernière des militants d’extrême-gauche avaient déjà guetté et attaqué des patriotes, en blessant un à la tête.
Après avoir reçu un coup, un jeune « antifa » est tombé et sa tête a alors heurté un plot en métal. Ce choc accidentel a été fatal à Clément Méric, 19 ans (qui n’était pas un pacifiste comme le disent mensongèrement les médias : voir ici).
Aussitôt, c’est l’emballement médiatique contre « l’extrême-droite » : on présente cela comme une « agression », presque un meurtre avec préméditation !
La vérité est que depuis quelques années, des dizaines d’activistes d’extrême-gauche, notamment à Paris, ont pour seule préoccupation d’attaquer des militants de droite nationale ou radicale : lors de rassemblements ou lorsque ces derniers sont isolés. Même les femmes n’y échappent pas, ni les commerces d’ailleurs.
Lors de la plupart de ses attaques, qui s’accompagnent pour les gauchistes d’une étonnante impunité policière, les agresseurs utilisent des armes et n’attaquent que s’ils sont en surnombre.
C’est miracle qu’il n’y ait pas eu de morts jusqu’ici.
Les antifas ne vivent que pour la violence contre les nationalistes ou supposés tels.
Faut-il s’étonner qu’à ce jeu ils puissent se retrouver perdants, de temps en temps, et accidentellement !?
On regrettera que ce jeune homme se soit engagé au service d’une cause qui relève de la farce idiote mais s’appuie sur une violence haineuse, et que ses parents l’y aient probablement autorisé.
Sans surprise, les vautours de gauche et d’extrême-gauche instrumentalisent cyniquement cette issue tragique pour exiger la dissolution des groupements nationaux.
Le milliardaire socialiste et pervers Pierre Bergé – naturellement défenseur de la gauche prétendue anticapitaliste – se déchaîne en imprécations, tachant de faire croire que ce décès est dû au climat créé « par les Manifs pour tous ». Le même Bergé qui souhaitait qu’une bombe explose pendant ces manifestations familiales…
En revanche, quand Romain et Damien Vandaele, 2 jeunes patriotes, sont tués il y a quelques semaines dans le nord par un Turc (les percutant volontairement avec sa voiture par « réflexe communautaire »), l’émoi est inexistant dans les gros merdias…
Aujourd’hui nos pensées émues iront à François Noguier, délaissé par les faiseurs d’opinion : ce jeune étudiant français est mort mardi après avoir été frappé par un individu de « type nord-africain », pour « un motif futile ». Comme des centaines d’autres.
Un bon communiqué du mouvement nationaliste (qui rejoint notre analyse) :
« Le Renouveau français se réjouit du grand succès populaire de la manifestation de ce 24 mars contre le délirant projet de loi Taubira.
La forte mobilisation ne s’est pas essoufflée depuis janvier et l’immense foule, d’au moins un million de personnes, représente bien la colère de la France réelle face à une petite oligarchie, forte seulement de ses médias et de ses matraques.
Nous regrettons qu’à nouveau les discours et les mots d’ordre des organisateurs officiels aient trop souvent été des apologies des « valeurs républicaines » – qui nous ont pourtant menées là où nous en sommes- , ou aient été d’une mollesse et d’une naïveté déconcertantes face au cynisme du gouvernement.
Nous sommes choqués que la parole ait été donnée complaisamment à des pontes de la droite libérale, coresponsable depuis des dizaines d’années du pourrissement moral de notre société. Continuer la lecture de « Communiqué du Renouveau français suite à la manifestation du 24 »
Communiqué du Renouveau français :
« Il y a quelques jours, une quinzaine de militantes du RF Paris ont envahi le local de la milice extrémiste antichrétienne « Femen » (grassement subventionnée par de discrets oligarques).
Cette première action est une « déclaration de guerre » à la bêtise et à la haine qu’incarnent les Femen, sous le vocable trompeur de « féminisme ».
Les Françaises sont dans leur très grande majorité plus proches des valeurs que défendent nos militantes, que de celles d’une minorité de bobos libertaires.
Les VRAIES femmes n’ont pas dit leur dernier mot.
Non, les Fem’haine ne défendent pas les femmes, mais seulement la vulgarité et la haine du christianisme. »
La ville de Paris est en quête d’identité : comment insuffler dans le « Grand Paris », qui est un territoire neuf créé à partir de collectivités existantes (ville, communautés de communes, agglomérations), un embryon d’identité commune ?
Hé bien Jean-Marie Le Guen, député socialiste du 13è arrondissement, semble avoir trouvé une solution. Et il la développe sur un site internet qu’il anime, dédié à la problématique du Grand Paris.
Ainsi, pour « mettre en valeur la diversité du Grand Paris« , le député d’extrême gauche propose un « carnaval annuel de toutes les cultures« , qui serait,une « vitrine d’un Paris ville-monde qui se partage, s’échange, et s’enrichit de ses différences« . Sur twitter, l’élu poste ainsi : « Je propose l’organisation d’un carnaval du GrandParis où toutes les cultures s’exprimeront dans un moment de cohésion et de partage« …
Il n’y a qu’un malheur : c’est qu’il existe déjà une culture française. Qu’une difficulté, c’est que la ville de Paris n’est pas vierge de coutumes, de codes et de traditions. Et donc un constat qui s’impose : l’étranger qui arrive à Paris est de facto héritier d’un tissu qu’il n’a pas contribué à fabriquer, mais dont il devient alors tributaire. Car Paris, Monsieur Le Guen, n’est pas un immense terrain vague où toutes les communautés étrangères seraient invitées à venir camper à leur guise. Paris n’est pas davantage une auberge espagnole. Et de ciment social, il n’y a en a qu’à condition que l’on admette des codes communs, ceux qui ont été sécrétés par l’histoire, laquelle a fait de nous des débiteurs.
Monsieur Le Guen, personne ne vous a investi pour créer, ex nihilo, une nouvelle société parisienne.
Mercredi 13 février, dans la soirée, des membres de la Ligue de défense juive, ont lancé des appels à la haine et sifflé la Marseillaise, en plein cœur de Paris.
Des associations de la communauté juive se sont en effet réunies pour commémorer la mort d’Ilan Halimi, séquestré et torturé en 2006 par le « gang des barbares » de Youssouf Fofana.
Encouragés par les organisateurs du rassemblement à entonner la Marseillaise, certains membres de la LDJ ont préférer la huer. Et scander, à la place, l’hymne israélien (à 4’11) :
Pour la deuxième fois de son histoire, après avoir postulé pour 2014, Paris est en lice pour devenir la ville qui accueillera les Gay Games 2018. La capitale française doit affronter, parmi les autres postulants,Orlando (Etats-Unis), Amsterdam (Pays-Bas), Londres (Angleterre), et Limerick (Irlande).
Vous connaissez les Gays Games ? « C’est une manifestation sportive et culturelle qui n’est absolument pas réservée aux homosexuels, explique Michel Geffroy, le coprésident de la candidature parisienne. Elle est ouverte à tous, quels que soient vos préférences sexuelles, vos origines, votre condition athlétique, votre handicap… Elle a lieu tous les quatre ans et dure une dizaine de jours, avec des cérémonies d’ouverture et de clôture. Elle comprend 36 disciplines sportives et, pour la partie culturelle, notre projet prévoit des festivals de musique et de cinéma, ou encore un défilé de mode, des expos, des visites thématiques de la ville… »
Curieux, dans la mesure ou cette manifestation est « ouverte à tous », de la catégoriser en la nommant ainsi. Tout cela sent la discrimination à plein nez. Bertrand Delanoë, qui a perdu le dossier des JO 2012, essaie sans doute de se rattraper sur ce coup là : peut-être aura-t-il moins de mal cette fois-ci…
Inutile de préciser que l’organisation de ces jeux, pour le plaisir d’un Delanoë se prenant pour un satrape romain décadent et voulant transformer Paris en Sodome ou Gomorrhe, couteraient une fortune au contribuable.
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