La présidence Macron a frappé fort et donné le ton du projet pour la France, en transformant le Palais de l’Elysée en lupanar pour prostitués et travestis africains !
Incroyable il y a quelques années, mais la République cosmopolite et décadente poursuit sa marche vers ce qu’elle appelle le « progrès ».
Attention, images réservées à un public averti.
Le DJ arborait fièrement un magnifique T-shirt militant où était écrit « Fils d’immigrés, noir et pédé ».
En 2011, une déclaration du ministre Luc Ferry avait du bruit : il affirmait qu’un « ancien ministre », dont il n’a jamais donné le nom, s’était « fait poisser à Marrakech dans une partouze avec des petits garçons », assurant tenir cela des « plus hautes autorités de l’État ».
Même si les réseaux pédomanes grimpent jusqu’au plus haut de l’Etat depuis longtemps (jouissant de ce fait d’une totale impunité), les regards se sont tournés vers le si néfaste Jack Lang, dont l’exécrable réputation en matière de mœurs n’est plus à faire.
On apprend maintenant par RTL que « l’ancien ministre de la culture Jack Lang a été entendu comme simple témoin en novembre dernier par la Brigade de protection des mineurs de la police judiciaire parisienne dans leur enquête sur les propos de Luc Ferry. Audition libre, ultra-discrète, suivie de très près par les autorités policières et judiciaires parisiennes. »
Lang niant bien sûr tout, le dossier a malheureusement (et sans surprise) été classé sans suite fin novembre par le parquet de Paris…
On se rappellera qu’il y a quelques années, Roger Holeindre (alors au FN) n’hésitait pas à mettre en cause vivement Jack Lang (ci-contre), sans avoir été pour autant poursuivi.
C’est une véritable bombe que Luc Ferry a lâché sur un plateau de télévision. Il accuse un ancien ministre de s’être fait prendre en flagrant délit de crimes pédophiles au Maroc.
L’information avait déjà circulé il y a quelques années, notamment sur les ondes de RMC comme le rappel Fdesouche :
Au cours de l’émission « Les Grandes Gueules » diffusée sur RMC les 27 novembre 2008 et 9 septembre 2009, Yves Bertrand, l’ancien directeur central des Renseignements généraux, évoquait aussi un ministre soupçonné de pédophilie dans les années 80. Celui-ci n’aurait jamais été inquiété.