Le dernier livre de Laurent Glauzy vient de paraître et il ne fait pas dans la dentelle. L’auteur entend pointer du doigt de très graves scandales et accointances.
« Pédo-satanisme et franc-maçonnerie. L’autel des élites. » Ed. Maison du Salat, 250 p. En vente ici.
4e de couverture :
« Le pédo-satanisme est-il la conséquence de pratiques rituelles liées à une élite maçonnique ?
Aujourd’hui, Bill Schnoebelen, ancien haut-représentant de l’Église de Satan, affirme que la Franc-maçonnerie pratique le pédo-satanisme comme rite initiatique du 33e degré du Rite écossais ancien et accepté.
Dans Morals and Dogma, en 1871, Albert Pike, un des « pères » de la Franc-maçonnerie, atteste que « la religion devrait être, pour nous tous, initiés de hauts grades, maintenue dans la pureté de la doctrine luciférienne. Oui ! Lucifer est Dieu. »
Et, en 1900, le grand mage Aleister Crowley, initié au 33e degré, avoue dans Magick in theory and practice, le sacrifice de cent cinquante enfants par an, entre 1912 et 1928.
D’ailleurs, en 1941, la police trouve le cadavre d’une fillette dans une loge, à Béziers. En 1998, des squelettes d’enfants sont découverts sous la maison londonienne de Benjamin Franklin, rédacteur de la Constitution américaine, Franc-maçon et adepte du Hell Fire Club.
Le pédo-satanisme serait donc une pratique partagée par une élite maçonnique transmettant le pouvoir à des politiciens et des financiers ayant les mêmes valeurs occultes.