Tentative d’assassinat sur Samir Geagea au Liban

Samir Geagea est l’un des chefs politiques libanais chrétiens (ancien de la Phalange et des Forces libanaises).

Article de Maroun Charbel dans Présent :

« Le chef des Forces libanaises, Samir Geagea, était dans le viseur du, ou des francs-tireurs, quand il s’est soudain penché pour cueillir une fleur. Les balles de DCA (défense anti-aérienne) de calibre 12,7 ou 14,5 – à cette heure-ci nous n’en savons pas plus – sont allées se loger dans le mur. Le tir a été effectué de loin. Geagea dans sa conférence de presse parle d’un tir parti de plus d’un kilomètre. Mais un tir pour tuer. Nous sommes loin, très loin, des « petits messages » que ceux de l’anti-Liban aiment à nous envoyer sous forme de grenades ou de pains d’explosifs déposés dans les parkings ou à proximité des bureaux ou habitations des chefs du Liban souverain.
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Profanations antinationalistes dans un cimetière espagnol

De notre correspondant en Espagne :

« Dans une enceinte adjointe au cimetière municipal d’Aravaca, reposaient, depuis plus de 60 ans des patriotes, religieux, monarchistes, ou phalangistes, assassinés par les forces républicaines. Parmi eux se trouvent , entre autres, Ramiro de Maetzu, l’un des intellectuels les plus éminents du début du xxème siècle, Ramiro Ledesma Ramos, fondateur du national-syndicalisme et les deux frères aînés de Ramon Serrano Suner (ancien chef de la Phalange), José et Fernando.

Dans la nuit du 22 au 23 octobre, (toujours la nuit, comme le font les rats) le cimetière de nos martyrs d’Aravaca a été profané par des vandales d’extrême gauche. Les dommages sont, a première vue, condidérables, et nous craignons qu’ils le soient plus encore que nous le pensons après une estimation réelle.
Ce n’est certes pas la première fois, et les autorités sont parfaitement conscientes que lorsqu’approche la fin du mois d’octobre, les familles viennent visiter leurs tombes
. »
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Une crapule idéologique sur le point d’être suspendue

Baltasar Garzon fait ses cartons. Le célèbre magistrat espagnol s’apprête à quitter son bureau, le cabinet d’instruction numéro 5, qu’il occupe depuis vingt-deux ans à l’Audience nationale, la plus haute instance pénale du pays. Ses pairs du Conseil général du pouvoir judiciaire (CGPJ), l’équivalent espagnol du Conseil supérieur de la magistrature (CSM), devraient le suspendre de ses fonctions, jeudi 22 avril, dans l’attente de son procès. La procédure est automatique pour tout magistrat accusé, comme lui, de prévarication, c’est-à-dire d’avoir abusé de son pouvoir.

Le juge Garzon est poursuivi pour avoir ouvert des enquêtes partiales et idéologiques, fin 2008, sur les soi-disant crimes franquistes de la guerre civile (1936-1939) et la répression durant le régime franquiste (1939-1975) alors que les faits de cette période (pour les deux camps) sont couverts par une  loi d’amnistie des crimes politiques (dite de réconciliation nationale) votée en 1977, deux ans après la mort de Francisco Franco.

En requalifiant en crimes contre l’humanité, donc imprescriptibles, les disparitions de quelque 114 000 républicains, Baltasar Garzon a monté « un artifice juridique », selon le magistrat instructeur Luciano Varela, qui a suivi en cela les plaintes de trois associations nationalistes, dont la Phalange espagnole.

S’il est reconnu coupable , M. Garzon encourt une peine de dix à vingt ans d’interdiction d’exercer. Autant dire que ce serait la fin de la carrière du juge vedette espagnol, dont la renommée a franchi les frontières en 1998 lorsqu’il ordonna l’arrestation de l’ex-dictateur chilien Augusto Pinochet au nom de la « justice universelle ».

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