Voici un événement qui permet de comprendre la pression qui existe en Allemagne à l’encontre des opposants politiques :
Nadja Drygalla, une athlète de la partie orientale de l’Allemagne, a du quitter les Jeux olympiques.
La raison de ce départ est que son »petit ami » est un responsable local du parti nationaliste NPD.
Dans le passé, Nadja Drygalla a été contrainte de quitter son emploi au sein de la police pour la même raison. (source)
Comme pour la compétitrice grecque elle aussi virée pour des motifs absurdes, les responsables olympiques osent invoquer des « valeurs », alors que leur raout mondial est une apologie du dopage, de l’argent-roi, de la publicité, du mercenariat…
Il faudra bientôt aux mondialistes effacer toutes les références à Pierre de Coubertin, qui a créé les Jeux olympiques modernes il y a un siècle, car ce dernier professait des opinions aujourd’hui interdites.
S’affirmant « colonialiste fanatique », il expliquait que « les races sont de valeur différente et à la race blanche, d’essence supérieure, toutes les autres doivent faire allégeance ».
A propos des femmes et des jeux olympiques, il constatait que « les olympiades femelles sont inintéressantes, inesthétiques et incorrectes. Aux Jeux olympiques, leur rôle devrait être surtout, comme aux anciens tournois, de couronner les vainqueurs. »
Sans parler de l’appréciation élogieuse qu’il fit des JO de Berlin en 1936, organisés par le IIIe Reich.