Le gouverneur démocrate de Virginie refuse l’enquête sur le Planning familial, de peur que l’avortement soit remis en question

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Quelques jours après la vidéo choc tournée en caméra cachée au planning familial américain, et dans laquelle la directrice de ce dernier reconnaît que son institution fait du trafic d’organes de foetus avortés, plusieurs parlementaires ont demandé une enquête.
Mais le gouverneur démocrate de Virginie, Terry McAuliffe, a refusé ces enquêtes.
Pourquoi ? Parce que cela donnerait du poids « aux attaques politiques sur l’accès des femmes aux services médicaux ».

Ce sinistre personnage révèle ici la pulsion de mort qui anime les défenseurs de l’avortement : plutôt cacher un trafic immonde plutôt que de se poser des questions sur la spirale infernale dans laquelle le vieux monde occidental s’est enfermé en se permettant de tuer des vies innocentes…
Qu’importe le découpage et la vente d’organes de bébés avortés, pourvu que personne ne se pose la moindre question.

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Vidéo : le Planning familial américain coupable de trafic d’organes de bébés avortés ?

The Center for Medical Progress a publié une vidéo, filmée en caméra cachée, dans laquelle le Dr Nucatola, directrice générale des services médicaux du Planning familial américain depuis 2009, reconnaît pratiquer des avortements par naissance partielle, une pratique totalement illégale, pour pouvoir prélever et vendre entre 30 et 100 $, des organes intacts de bébés avortés (le trafic d’organes est passible de 10 ans d’emprisonnement aux Etats-Unis et de 500 000 $ d’amende).

Jeanne Smits avait décrit il y a quelques années en quoi consiste un avortement par naissance partielle :

« Cette forme d’avortement, pratiquée à partir du 5e mois de grossesse, consiste à déclencher l’ouverture du col pendant deux jours, à faire naître partiellement l’enfant par le siège, puis à perforer sa tête par le bas du crâne et à aspirer son cerveau avant d’extraire totalement son corps de l’utérus. Le procédé répond à un double objectif : faciliter le passage de la tête, mais aussi s’assurer de la naissance d’un bébé mort. »

Tout au long de l’entretien filmé à son insu, le médecin parle d’avortements (où placer son forceps pour récupérer l’organe voulu, quelle partie écraser…) et de parties de corps de bébés à vendre tout en dégustant  sa salade – ses interlocuteurs se sont fait passer pour des acheteurs potentiels et lui ont fixé un rendez-vous au restaurant.

La vidéo, reprise par les sites pro-vie américains, commence à faire parler d’elle outre-atlantique et mériterait d’être entièrement traduite et sous-titrée en français. Avis aux amateurs. La voici, en anglais donc :

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La rédemption d’une femme ayant avorté

Un reportage qui n’est pas dans l’air du temps !
En cliquant sur l’image, vous accéderez au témoignage d’Amélie, chanteuse et animatrice qui raconte le jour où elle a avorté.
Aujourd’hui elle estime être une criminelle et explique pourquoi à travers son parcours de rédemption.
A voir pour celles qui se posent des questions.

On peut aussi retirer de ce témoignage le conseil suivant : mesdemoiselles, choisissez bien votre homme !

« Tuer plus, pour gagner plus »

Aujourd’hui, à l’occasion de la Journée internationale de la femme, Roselyne Bachelot va annoncer l’augmentation de 50% de la rémunération des actes d’interruption volontaire de grossesse.
Les forfaits avortement seront payés par la sécu 450 euros au lieu de 300 aux avorteurs.
Une mesure réclamée par l’association Planning Familial (fondée par le Juif franc-maçon Pierre Simon).