Il a suffit d’un article de Libération pour que le pouvoir politique s’engouffre et attaque le foyer de tradition que constituent les lycées militaires.
Le quotidien gaucho-bancaire subventionné dénonçait il y a quelques jours la présence, au lycée militaire de St Cyr-l’école, de lycéens attachés aux traditions de leur établissement et de l’armée, soupçonnés en plus d’être catholiques, et qui rappelleraient aux filles qui auraient l’idée saugrenue de devenir officiers qu’elles se sont trompées.
Le ministre des armées (et non pas « la », en français), Florence Parly, a sauté sur l’occasion : « Tolérance zéro. Il n’y a pas de place pour le sexisme dans nos armées. »
Et cette politicienne – parachutée pour diriger un monde dont elle ne connait rien – d’annoncer une série de sanctions contre des élèves et des cadres de la prépa militaire de Saint-Cyr, mercredi 4 avril à l’Assemblée nationale.