Les enfants immigrés font baisser la moyenne de leurs classes

Marie Reynier, recteur de l’académie d’Orléans-Tours, fait le constat du faible niveau scolaire des immigrés et de leurs enfants.
« Si on enlève des statistiques les enfants issus de l’immigration, nos résultats ne sont pas si mauvais ni si différents de ceux des pays européens. Nous avons beaucoup d’enfants de l’immigration et devons reconnaître notre difficulté à les intégrer. »

Tout un chacun pouvait s’en douter pour plusieurs raisons :
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Le manque de soleil dans les pays nordiques est mauvais pour la santé des immigrés

Nos amis issus de la diversité seront-il obligés de rentrer chez eux?

Le manque de lumière sous les latitudes élevées du nord de l’Europe peut avoir des conséquences inattendues: en Suède, les nouvelles populations immigrées arrivées d’Afrique ou du Moyen-Orient dans les années 90 souffrent beaucoup de carences en vitamine D, du fait de leurs peaux plus sombres.

En Suède, dès les premières éclaircies du printemps, les bancs et les parcs sont littéralement pris d’assaut à travers le pays. Il est en effet inconcevable pour un Suédois de ne pas profiter du moindre rayon de soleil. Une habitude qui amuse beaucoup les immigrés venant de pays inondés de soleil, eux qui ont plutôt tendance à fuir l’astre du jour aux heures les plus chaudes.

Or, ce sont eux qui auraient le plus besoin de s’exposer, car leur peau généralement plus pigmentée est moins perméable aux rayons du soleil, nécessaires à l’organisme pour fixer la vitamine D – qui n’est autre en fait qu’une hormone. Là où une demi-heure d’exposition quotidienne suffit à une peau claire pour avoir sa dose, les besoins peuvent être multipliés par dix -soit cinq ou six heures de soleil par jour- pour un individu à la peau très sombre.

Manque de soleil : les immigrés sont les les plus lésés

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Le métissage menace de disparition la race des ours polaires.

L’amplification du métissage des ours blancs par les grizzlys menace la survie de l’espèce polaire.
Evidemment, transposer cette réflexion à certaines races humaines serait de mauvais goût pour les scientifiques…

« Dans une étude publiée par la revue Nature, des scientifiques alertent quant à l’impact que pourrait avoir sur la population d’ours polaires, l’hybridation encouragée par le recul des glaces en Arctique. (…)
C’est en 2006 qu’a été découvert le premier « pizzly », un ours blanc au pelage tacheté. Mais cette hybridation pourrait mener à la disparition de la seconde espèce, avertissent des biologistes.
« 
La fonte rapide de la banquise arctique met en péril les espèces à cause des croisements et de la perte de leur habitat« , assurent-ils en effet dans la revue Nature. « Lorsque de plus en plus de populations et d’espèces isolées entrent en contact, (les animaux) vont s’accoupler, des hybrides vont naître, et des espèces rares vont vraisemblablement s’éteindre » expliquent-ils. (…)
En outre, les croisements entre ours bruns et polaires sont dangereux pour la survie du pizzly, qui s’il garde l’instinct de chasse de l’ours polaire, hérite de la difficulté à nager du grizzly.  »

Le phénomène menace aussi les mammifères marins :
« Alors qu’il n’existe pas plus de 200 baleines franches dans le Pacifique Nord, l’espèce pourrait disparaître si les croisements avec des baleines boréales venaient à se multiplier. »

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