Prenons l’exemple de François Hollande, le rupin qui déclare qu’il « n’aime pas les riches ».
Il aime, en revanche, les évadés fiscaux, surtout quand ils sont réputés très populaires parmi les Français, comme le saltimbanque gauchiste et cosmopolite Yannick Noah.
Les médias ne parlent que du soutien que ce dernier apportera au candidat socialiste, en venant à son meeting parisien.
Noah prend la politique très au sérieux en effet. En décembre 2005, il avait déclaré : « une chose est sûre : si jamais Sarkozy passe, je me casse ! » …