Restau asiatique : les clients mangeaient la femme du chef sans le savoir

Les pires rumeurs courent sur la restauration asiatique, dans les innombrables boui-bouis qui se sont multipliés en Occident.
En lisant l’anecdote, réelle, ci-dessous, on comprend pourquoi.

« Au Mexique, c’est un client qui s’est fait livré chez lui qui a interpellé la police. Après avoir entamé son repas, il trouvait que le goût était inhabituel : amer et élastique. Il a directement appelé les autorités craignant que la viande en question ne provienne d’un animal, mais la réalité était tout autre.

Après une dispute avec sa femme, M. Xiung, le restaurateur, l’avait tuée et découpée en morceaux.

Arrêté par la police, M. Xiung a avoué que pour faire disparaître le cadavre, il avait mélangé la viande issue du corps de sa femme avec la farce des raviolis et des brochettes de son restaurant. Cela faisait une semaine qu’il servait cette viande à sa clientèle.

D’autres morceaux du corps de sa femme ont été retrouvés dans la chambre froide du restaurant. »

Source

Une oligarchie totalement déconnectée du peuple.

Le secrétaire d’Etat chargé de la Santé, Nora Berra (!), a publié sur son blog ce 4 février, un post intitulé « Mes recommandations face au froid », dans lequel elle conseille tout bonnement aux sans-abri de…rester chez eux.
« Je rappelle, dans le cadre de la vague de froid qui s’abat actuellement et encore pour plusieurs jours sur la France, les principales mesures à adopter en cas de grand froid, notamment pour les populations vulnérables (sans-abri, nourrissons…) », écrit le secrétaire d’Etat.
Avant d’ajouter, quelques paragraphes plus bas : « En cas de grand froid, je recommande aux personnes les plus vulnérables d’éviter de sortir. »

Pendant ce temps, dans le camp soi-disant « d’en face », François Hollande (qui « n’aime pas les riches ») déjeunait avec Bernard-Henri Lévy sous l’égide du milliardaire homosexualiste Pierre Bergé. Tout un tableau. Et pas n’importe où : pour parler de la France d’en bas et de ce bon peuple de gauche, ils se sont retrouvés dans un restaurant où l’on s’en tire, à la carte, pour quelques centaines d’euros par personne… Attention, pour les pauvres, il y avait quand même un menu à 165 €…