UK : un réseau pédophile impliquant des hommes politiques britanniques protégé pendant des décennies

Pédophilie

Nouveau scandale au Royaume-Uni : nombre de hauts fonctionnaires britanniques ont une longue histoire de protection de pédophiles, parmi lesquels des personnalités très influentes du pays. Il vient d’être mis en lumière par le Daily Beast qui dénonce une pratique qui a perduré pendant des décennies. L’histoire remonte aux années 1980, et implique selon le journal des hommes politiques, des juges, des officiers du renseignement, du personnel des palais royaux, des responsables d’écoles prestigieuses, de grosses entreprises et même certains membres de l’Eglise anglicane. Sans compter que plus de 100 documents gouvernementaux sur des réseaux pédophiles ont mystérieusement disparu…
Ce scandale s’ajoute à celui des gangs musulmans qui pratiquaient leur trafic sexuel d’enfants depuis quinze ans, protégés par le silence des autorités britanniques, lui aussi mis au jour récemment.

Des documents sur un réseau pédophile impliquant des officiels britanniques confisqué par la police
Le Daily Beast explique : le rédacteur en chef d’un journal détenait la preuve qu’un haut responsable chargé de faire appliquer la loi savait qu’il existait un réseau de pédophiles VIP à Westminster, au cœur du gouvernement britannique. Ce qui s’est passé pendant l’été 1984 explique pourquoi certaines allégations choquantes de viols et de meurtres contre certains hommes très puissants du pays n’ont pas été rendues publiques alors – et comment ce silence a été maintenu pendant des décennies.

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Il ne connaissait pas le Coran par coeur : sa mère le tue

Cela s’est passé au Royaume Uni. Sara Ege, une mère de famille de 33 ans,  a été reconnue coupable mercredi du meurtre de son fils de sept ans : elle l’a frappé à mort sous prétexte qu’il ne parvenait pas à mémoriser le Coran !

Les compte-rendus du tribunal de Cardiff, au Pays de Galles, soulignent qu’elle  traitait son fils comme un « chien », et le frappait avec un bâton chaque fois qu’il ne se souvenait pas des versets du Coran.

Sara Ege a brûlé le corps de son fils après l’avoir tué, laissant croire à la police, au départ de l’enquête, qu’un incendie était responsable de sa mort. Puis, lorsque les analyses ont révélé que l’enfant était mort avant d’avoir brûlé, elle a tenté de faire porter le chapeau à son mari, niant avoir tué son fils.

L’Islam, religion de paix et d’amour, une chance pour l’Occident ?

Eugénisme : des avortements sélectifs au Royaume-Uni

Le Daily Telegraph a révélé que des médecins britanniques ont autorisé des femmes à avorter car le sexe de leur enfant ne leur convenait pas.

«Pourquoi souhaitez-vous avorter?
– Je ne veux pas de fille
– D’accord, mais on indiquera une autre raison sur votre dossier.Trop jeune pour être mère, ça vous va?
»

Si l’affaire choque chez nos voisins, l’hypocrisie en France est bien plus grande. En effet contrairement à la plupart des pays d’Europe, dont la France, les femmes souhaitant avorter au Royaume-Uni doivent justifier leur décision auprès de deux médecins qui donneront ou non leur accord. Il est donc très probable que des cas similaires existent aussi dans notre pays, sauf que chez nous c’est légal.

UK : meurtre d’une esclave sexuelle blanche

Une adolescente anglaise de 17 ans poignardée et jetée dans un canal pour avoir sali l’honneur d’une famille pakistanaise, tel est le scénario entendu par la justice britannique il y a quelques jours.

Laura Wilson, arrachée à sa famille, était « élevée » depuis l’âge de 12 ans par des hommes pakistanais qui disposaient d’elle sexuellement.

Poignardée à de nombreuses reprises par Ashtiaq Asghar, celui-ci l’aurait ensuite poussée dans un canal et forcée à la noyade en appuyant la pointe de son couteau sur la tête de la victime.

L’homme âgé de 18 ans était son compagnon. Il n’aurait pas supporté l’officialisation de leur relation à ses parents.
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Royaume-Uni : propagande homosexuelle dès la maternelle

Incorporer des notions homosexuelles dans tous les cours, de la géographie aux cours de maths, tel est le projet gouvernemental (conservateur) qui pourrait voir le jour outre-Manche selon le Daily Mail.
Les problèmes de maths pourraient alors se baser sur des personnages gays, au lieu de tenter de trouver l’âge du capitaine.
Les cours de géographie expliqueraient pourquoi les homosexuels tendent à quitter la campagne pour rejoindre les villes, tandis que les cours de langues utiliseraient le vocabulaire homosexuel.

Le but de ce projet est selon ses auteurs d’attirer l’attention sur les problèmes de la communauté dite « LGBT » pour les enfants dès quatre ans.
Les enfants devraient également être soumis à des images de couples homosexuels ainsi qu’à des livres pour enfants sur ce thème, en particulier l’histoire de deux pingouins mâles adoptant un poussin.

Cette réforme, très critiquée par les professeurs et parents d’élèves, mais soutenue par des associations scolaires, ne serait toutefois pas obligatoire, mais disponible pour les établissements et enseignants qui souhaitent l’appliquer.

De la viande d’animal cloné vendue à la consommation en Grande-Bretagne

L’Agence de sécurité des aliments du Royaume-Uni (FSA) a confirmé, mardi 3 août à l’issue d’une enquête, que la viande de la progéniture d’une vache clonée était entrée dans la chaîne alimentaire du pays, l’année dernière.

Les responsables de cet organisme ont fait cette découverte après l’ouverture d’une enquête sur les déclarations d’un éleveur britannique qui avait affirmé au New York Times vendre du lait produit par une vache née d’un clone, ce qui est interdit par l’Union européenne. Il a expliqué qu’il mélangeait chaque jour le lait de traite d’une vache née d’un bovin cloné à celui du reste de son troupeau. Continuer la lecture de « De la viande d’animal cloné vendue à la consommation en Grande-Bretagne »

« Ce qui s’est passé le jour du “Bloody Sunday” était non justifié et non justifiable. »

Le rapport sur la répression des soldats britanniques au cours de ce « dimanche sanglant » (Bloody Sunday), qui désigne la mort de 14 catholiques dans la répression d’une manifestation, le 30 janvier 1972, à Londonderry (Irlande du Nord), a été rendu public au Royaume-Uni.

Londres a fait un mea culpa historique. « Ce qui s’est passé le jour du “Bloody Sunday” était non justifié et non justifiable. C’était mal », a déclaré le Premier ministre, David Cameron, devant la Chambre des communes, Chambre basse du Parlement, en annonçant les conclusions de l’enquête. Continuer la lecture de « « Ce qui s’est passé le jour du “Bloody Sunday” était non justifié et non justifiable. » »