La Cour interaméricaine des droits de l’homme vient de condamner le Chili pour une décision de justice rendue en 2004. La Cour suprême avait alors préférer confier la garde de trois filles à leur père plutôt qu’à leur mère lesbienne et son amante, qui vivaient ensemble.
La haute cour avait jugé qu’en choisissant ce mode de vie, Karen Atala avait « fait passer ses intérêts propres avant ceux de ses filles ». Poursuivant dans ses observations de bon sens, la juridiction précisait «Outre les effets que cette vie commune peut causer sur leur bien-être psychique et émotionnel (…), l’éventuelle confusion des rôles sexuels que peut produire sur eux la carence d’un père de sexe masculin et son remplacement par une autre personne de genre féminin au foyer constitue une situation à risque pour le développement général des mineures.»
Mais l’idéologie droit-de-l-hommesque est passée par là :
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