Depuis plusieurs jours, la Banque centrale européenne a décidé d’acheter massivement des obligations des gouvernements italien et espagnol. Les acheteurs de dette souveraine française réclament maintenant des taux d’intérêt plus élevés. Un scénario qui a de quoi inquiéter les rédacteurs des communiqués des grandes banques françaises, assurant de leur solidité. Dans plusieurs pays, des articles de presse financière signalent que la France n’a aucune raison de garder une note AAA avec une dette qui dépasse les 80% du PIB.
La « main anonyme » joue aux dominos
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