La journée d’hier, 8 octobre 2012, aura été un nouveau témoignage, s’il en fallait encore un, de la déliquescence du tissu social français. Une lycéenne de 17 ans est poignardée, dans son établissement scolaire, par son ex-petit ami. A Troye, un maçon de 28 ans est brûlé vif par deux agresseurs cagoulés, sous les yeux de sa fille de 5 ans. A Cannes enfin, un homme de 35 ans, bien connu des services de police, est abattu par un tireur à scooter. « Douce France, cher pays de mon enfance, bercée de tendre insouciance… » chantait Charles Trenet en 1943. Un réconfort dans ces temps d’incertitudes :