« Mes pronoms sont al, ol, ul… »
Un petit reportage complaisant, dans cette université prestigieuse, longtemps gloire de la France : il est ahurissant, et très inquiétant quant à l’avenir du pays, dont les enfants (toujours moins nombreux) ont le cerveau lavé et retourné par la gauche tarée.
Une bonne femme étrangère payée par nos impôts s’y présente comme « ni homme ni femme » et exige des élèves qu’ils la qualifient selon les mots qu’elle invente, piétant la langue française autant que la réalité naturelle.
Evidemment, on peut supposer que les vidéastes ont sélectionné les étudiants interrogés.