Réflexions lues sur le site du RF :
« De plus en plus de prélats se font les serviteurs zélés du gaucho-mondialisme.
Cette idéologie pourtant élaborée dans des cénacles foncièrement antichrétiens, fait oublier que le catholicisme (s’appuyant sur l’ordre naturel, qu’il doit défendre), le bon sens, la piété filiale comme le respect de la Création, commandent que les véritables nations doivent survivre et que leurs gouvernements doivent les défendre.
« Aujourd’hui, en Europe, on ne considère l’immigration que comme une menace : menace à l’intégrité européenne, menace au développement, menace au bien-être, menace à la sécurité. Un danger et non une aide potentielle au développement » (1), relève ainsi le cardinal ghanéen Peter Turkson, récemment nommé à la tête du conseil pontifical Justice et Paix (équivalent d’un ministère), dans un entretien (source).
« Mais les migrations ne peuvent pas être arrêtées ni évitées », ajoute-t-il bêtement, affirmant que « la frontière entre les législations restrictives et le racisme risque de devenir toujours plus mince ». (2)
Pour lui, ceci entraîne un « autre risque » : « que les étrangers apprennent à faire la même chose » et qu’une fois revenus dans leur pays, ils mettent en œuvre des politiques migratoires restrictives.
Le problème étant qu’ils ne retournent justement pas dans leur pays…
Et qu’ils deviennent des déracinés avec ce que cela implique de négatif pour eux, comme pour les pays européens envahis, dont les peuples sont sérieusement menacés de disparaître physiquement.
Ce qui ne semble pas émouvoir ce cardinal a priori dégoulinant de bons sentiments…
Cette leçon de morale « politiquement correcte » adressée aux nations européennes (alors que le véritable racisme est probablement plus développé en Afrique) est particulièrement déplacée, à l’heure où l’Eglise devrait s’opposer plus que jamais à l’édification du Nouvel Ordre Mondial antichrétien et antinaturel, qui veut, entre autres choses, la peau des nations.
Thierry Boudreaux
membre du Comité directeur
(1) : puisque le prélat parle d’économie, il faut lui rappeler que l’immigration en France coûte beaucoup plus qu’elle ne rapporte, ruinant l’économie du pays.
(2) : le cardinal emploie le mot « raciste » à tort et à travers, comme le font les gauchistes de tout poil, pour stigmatiser les peuples qui traînent des pieds à l’idée de disparaître sur le plan ethnique. N’est-ce cependant pas dans cette disparition, conséquence de l’invasion et du métissage généralisé, que réside le véritable racisme ? »