Tribune libre : retour sur l’UDT du FNJ

Aujourd’hui, je souhaite revenir sur le fiasco de la 24ème édition de l’UDT du FNJ qui éclabousse une nouvelle fois David RACHLINE et ses lieutenants.
Plus précisément, il est intéressant d’étudier la réponse proposée par la Coordination nationale (expression politiquement correcte qui désigne l’ancienne Direction Nationale)
aux critiques formulées par « Estelle », concernant l’organisation et le déroulement de l’UDT, publiées dans un article sur le site des Jeunes Avec Gollnisch.

En effet, sous le pseudonyme d’Estelle, l’auteur reproche :

– Le mensonge qui entoure le nombre véritable de participants à l’université d’été,
– L’installation et l’organisation anarchique du coucher (tentes),
– Le manque d’organisation concernant le nettoyage et les tâches ménagères dans l’ensemble,
– L’absence totale de LEVÉE DES COULEURS,
– La « DISCRIMINATION POSITIVE » en raison de la couleur de peau et de l’ancienne appartenance politique d’une universitaire,
– Les orgies sans surveillance,
– Le fait qu’AUCUNE MESSE NE SOIT PRÉVUE POUR LES CATHOLIQUES ET L’INTERDICTION D’ORGANISER UN CONVOI POUR S’Y RENDRE.

À la lecture de cet article, on ne peut être que révolté de l’amateurisme, de l’hédonisme et du peu de bon sens dont les organisateurs ont fait preuve durant ce camp.
C’est la première fois dans l’histoire du FNJ que les couleurs n’ont pas été montées et, de mémoire, jamais une messe n’a été refusée à un militant sous prétexte de laïcité.
Voilà un mouvement de patriotes qui ressemblent plus aux GO (Gentils organisateurs) du Club Med qu’à la branche jeune d’un parti qui propose de sauver la France.

La situation dépeinte parait tellement catastrophique que l’on espérait de la « coordination nationale » un communiqué pour démentir les faits, rétablir la vérité et laver l’affront.

Stéphanie KOCA, en bon avocat de Rachline, se charge de rédiger un plaidoyer dont le résultat est une nouvelle fois pitoyable :

Elle commence par mettre en avant toute la bonne volonté des organisateurs de l’UDT avant de se lamenter sur le manque de budget alloué à cette université d’été.
Puis elle s’indigne de tout le « fiel », « la mauvaise foi » et la « malhonnêteté » dont aurait fait preuve l’article d’Estelle mais ne DÉMENT RIEN!
La messe, les couleurs, la discrimination positive et les orgies sont passées sous silence. Stéphanie KOCA ne fait que confirmer implicitement la véracité des faits révélés par Estelle.

Le plus révoltant étant les excuses avancées pour justifier l’échec de cet UDT : le manque de moyens et… le mauvais temps !
Pour couronner le tout, Stéphanie Koca profite de ce communiqué pour rappeler à l’ordre Bruno Gollnisch, vice président du Front National, en lui demandant de se désolidariser de ses partisans.
Que d’audace de la part d’une militante qui a eu tant de mal à organiser un camp de 4 jours.

Qu’il est loin le temps des UDT de 100 militants, heureux de chanter les Lansquenets devant le drapeau, fiers de leurs couleurs et prêts à faire front pour défendre les intérêts des français.

Julien Mala pour C-I

10 commentaires concernant l'article “Tribune libre : retour sur l’UDT du FNJ”

  1. La France de 2010 : les prostituées notées par les clients sur internet

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    Les prostituées indignées d’être notées sur internet

    Des prostituées toulousaines s’indignent d’être « notées » sur internet par leurs clients. Sur ces sites, ces derniers livrent leurs appréciations, souvent graveleuses, en n’hésitant pas à les diffamer et à porter atteinte à leur dignité.

    L’association toulousaine Grisélidis qui vient en aide aux prostituées se dit choquée. Pointées du doigt par leurs ex-clients sur des forums de discussion via internet, les « belles de nuit » s’estiment, elles, discriminées voire diffamées par ces appréciations graveleuses postées sur des sites et consultées par des milliers d’internautes. Pêle-mêle, on y trouve des « prodigieusement ennuyeuse », « une bombe espagnole vraiment nulle », pour les avis les plus softs… Des commentaires, parfois sans retenues, ponctués par de cinglants « n’y allez pas ! » ou simplement « à déconseiller », comme à la sortie d’un mauvais resto. Ce curieux hit-parade du sexe passe mal chez certaines professionnelles de la Ville rose.

    http://www.ladepeche.fr/article/2010/09/03/899449-Les-prostituees-indignees-d-etre-notees-sur-internet.html

  2. Ce serait marrant de demander l’avis de Roger Holeindre, qui a accueilli un nombre considérable d’UDT du FNJ à Neuvy-sur-Barangeon dans le château du CNC, sur l’absence de levée des couleurs et de messe, et surtout sur les deux universitaires qui se sont enfilés dans une voiture.

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