Le général Delawarde, l’un des signataires de la fameuse « tribune des généraux », était invité dans l’émission « Morandini Live ».
Il est pris à partie par un certain Claude Posternak, « historien », « économiste », « publicitaire » (oui, tout ça et sûrement d’autres titres encore!), et surtout militant communautariste juif (comme le montre son compte twitter, obsessionnel), qui semble atteint de frénésie, sinon d’hystérie.
Celui-ci exige – avec le renfort des autres intervenants – que l’invité dise qui est, selon lui, « derrière la meute médiatique ». Bref, qui dominerait les médias.
Ces gens intiment à leur invité l’ordre de répondre.
Et, une fois qu’ils ont la réponse, la réponse qu’ils espéraient (le général dit sobrement « la communauté que vous connaissez bien »), c’est la crise de nerfs sur le plateau.
L’animateur interrompt brutalement l’entretien.
Ce général a répondu avec franchise, et courage (ou naïveté, ou inconscience, c’est selon). Comme le font les gens normaux, entre eux, au bistrot ou ailleurs.
Mais dans les médias, c’est autre chose.
On notera la perfidie, la méchanceté, l’hypocrisie de ces intervieweurs-procureurs.
Bon courage à ce général, qui va avoir des soucis, au « pays des droits de l’homme » et de « la liberté d’expression » (humour).
Quant à la question posée, nous nous garderons de répondre nous-même.
Personne ne domine rien, dans aucun domaine. Voilà.
Ah, si, les salauds de Blancs.