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Président du Siècle, ancien député européen socialiste, Olivier Duhamel accusé de pédophilie
« Je ne pouvais plus me taire. » Camille Kouchner, avocate et maître de conférences en droit privé, affirme, dans un livre intitulé La Familia grande, que son frère jumeau a subi, à l’adolescence, des gestes incestueux de leur beau-père, le constitutionnaliste Olivier Duhamel. « Ce livre est né de cette nécessité : témoigner de l’inceste pour montrer que ça dure des années et que c’est très, très difficile de se défaire du silence. Je ne l’ai pas écrit au nom de mon frère, mais des sœurs, des nièces, de toutes les personnes touchées par l’inceste« , explique la juriste dans une interview accordée à L’Obs
Olivier Duhamel n’était pas seulement constitutionnaliste, il est également le président du cercle très fermé et très restreint qui est au coeur du pouvoir, regroupant tous les décideurs politiques/médiatiques/industriels/financiers de la France, le Siècle. Si les accusations sont confirmées, ce qui est fort probable car Duhamel a démissionné de ses fonctions, c’est un pédophile qui dirige cette institution, elle-même à la tête de l’Etat bien que dans l’ombre ! Avant d’atteindre ce sommet, Olivier Duhamel avait été occupé de nombreuses fonctions publiques et politiques, notamment comme conseiller du président du Conseil constitutionnel (1983-1995), membre des comités sur la révision de la Constitution présidés par Georges Vedel (1993) et Édouard Balladur (2007), député européen socialiste entre 1997 et 2004. Il avait également co-écrit (avec Martine Aubry, l’actuelle maire de Lille) un petit livre au titre sans ambiguïté « Petit dictionnaire pour lutter contre l’extrême-droite » qui montre bien ses obsessions en matière politique.
Du reste, on notera que la victime supposée est le fils de Bernard Kouchner, ancien ministre de tous les gouvernements socialistes de 1988 à 2001 et également ministre sous Sarkozy de 2007 à 2010. Pour rappel, Bernanrd Kouchner avait signé en 1977 une pétition promouvant la pédophilie qui avait été rédigée par Matzneff. Certes, il s’était rétracté quand Matzneff avait été inquiété par la justice, mais apparemment pas seulement pour ça, puisque le fléau de la pédophilie a touché un de ses enfants ! Il a déclaré, de façon assez sibylline « un lourd secret qui pesait sur nous depuis trop longtemps a été heureusement levé« , « J’admire le courage de ma fille Camille« . Etait-il au courant ? Car le plus abject reste la mère des victimes qui savait le comportement de Duhamel sur ses enfants et qui n’a rien fait !
Paris. Pierre Aidenbaum, ex-adjoint d’Anne Hidalgo, ex-président de la LICRA, mis en examen pour «viol» et «agressions sexuelles»
Ex-adjoint d’Anne Hidalgo à Paris, Pierre Aidenbaum a été mis en examen pour « viol » par personne ayant autorité et « agressions sexuelles » nous apprend Le Figaro. C’est donc le deuxième ex-maire adjoint d’Anne Hidalgo mis en examen dans une affaire sordide.
Cette mairie, qui avait été qualifiée de « Pédoland » par des manifestants se contente de déclarer : « La Maire de Paris prend connaissance de cette mise en examen pour des faits extrêmement graves. Elle demande à l’intéressé de démissionner immédiatement de son mandat de conseiller de Paris », a indiqué la mairie à l’AFP. Consternant !
« Droit au blasphème » : l’écrivain dissident Hervé Ryssen emprisonné pour délit d’opinion !
Alors que se déroule le procès de l’attentat de Charlie Hebdo et que tout le monde n’a que les mots « liberté d’expression » à la bouche, nous apprenons que l’écrivain Hervé Ryssen vient d’être à la prison de Fleury-Mérogis, pour une peine de 17 mois, consécutive à des publications !
Il a été incarcéré vendredi 18 septembre « en exécution de trois condamnations à des peines de prison ferme pour des propos antisémites ou négationnistes », a indiqué le parquet de Paris.
Il avait été convoqué jeudi par la police judiciaire puis présenté à un magistrat qui a ordonné l’exécution de ces peines prononcées entre 2017 et 2020, pour un total restant de 17 mois d’emprisonnement, a précisé le parquet à l’AFP.
Il faut bien sûr le défendre et le soutenir – nous y reviendrons – et plus que jamais dénoncer l’hypocrisie de ce Système qui se targue de « liberté d’expression » – Macron plaidant encore il y a quelques jours pour le « droit au blasphème » – mais qui, en même temps, emprisonne les opposants, les dissidents, pour des publications.
Au pays des 100 000 peines d’emprisonnement non exécutées, alors même que l’on vide les prisons pour cause de Covid-19, on prend la décision – politique – d’enfermer un écrivain patriote.
Hervé Ryssen a étudié dans plusieurs livres le judaïsme politique – mais il est des sujets qui visiblement ne souffrent pas le « blasphème ». Il fut condamné essentiellement pour des tweets, des couvertures de livres, ses écrits (présentant de très nombreuses citations d’intellectuels juifs) étant inattaquables à quelques phrases près. Il n’a jamais eu d’écrits révisionnistes envers la version officielle de l’histoire de la 2e Guerre mondiale, mais il a simplement partagé sur facebook un dessin caricatural. Mais les gros médias qui évoquent dans un entrefilet son incarcération le présentent surtout comme un « négationniste ».
Cette République maçonnique, dominée par le CRIF, est odieuse non seulement car elle emprisonne pour délit d’opinion dans l’indifférence médiatique, mais encore plus par son hypocrisie.
Pierre Sidos a été rappelé à Dieu
Après une vie de défense de la France, Pierre Sidos – fondateur de plusieurs mouvements nationalistes – est mort ce vendredi 4 septembre, à l’âge de 93 ans, muni des derniers sacrements.
Il était d’une famille engagée au service de la France, et marquée par les tragédies que connut le pays.
Son père François fut mis à mort, comme des dizaines de milliers de Français, lors de l’Épuration : son engagement nationaliste, au service de la Révolution nationale, lui valut d’être fusillé en 1946.
Son frère Jean est tombé au champ d’honneur face aux Allemands en 1940, à l’âge de vingt ans.
Son autre frère Henri est mort au combat en Algérie, à l’âge de 26 ans.
Se souvenant bien de la journée tragique du 6 février 1934, Pierre Sidos avait subi lui-aussi personnellement les affres de la IIe Guerre : tout jeune militant du Parti franciste, il eut droit à la déportation et fut emprisonné par les gaullo-communistes au camp du Struthof avec des milliers d’autres Français.
En 1949, relevant la bannière du nationalisme dans un champ de ruines, il fonda avec ses frères Jacques et François le mouvement Jeune Nation, sous le signe de la croix celtique, qui eut un retentissement important dans les années 50. Le mouvement fut dissous en 1958, suite aux « événements d’Algérie ».
Pierre Sidos fonda alors le Parti nationaliste, qui fut à son tour dissous, par le régime gaulliste. Telle est la démocratie…
Pour son soutien à la résistance Algérie française (OAS) face à la trahison de De Gaulle, il fut ensuite emprisonné comme des milliers de patriotes.
En 1964, il cofonda le fameux mouvement Occident, avant de s’en séparer assez rapidement et de créer en 1968 l’Œuvre française, qu’il dirigea jusqu’en 2012 (en donnant alors la direction à Yvan Benedetti). Victime du monopole et de l’attraction du Front national des années 80-90-début 2000, le mouvement eut une audience limitée mais n’abandonna jamais sa ligne nationaliste intransigeante et fut une école pour un certain nombre de militants patriotes jusqu’à sa dissolution par l’ignoble apatride Manuel Valls en 2013 (suite à l’affaire Méric, à laquelle il n’était nullement mêlé).
La ligne politique incarnée par Pierre Sidos était celle d’un nationalisme français rigoureux, ne faisant guère de concession au politiquement correct et à l’air du temps. Elle était plus barrésienne et bonapartiste que maurrassienne.
Jusqu’au bout il fut fidèle à ses idées, bon an mal an, quoiqu’il en coutât, sans bénéficier de reconnaissance.
Nous aurons l’occasion de revenir sur sa vie.
Que le bon Dieu l’accueille en son paradis.
L’année 2020 est une année particulièrement noire pour la résistance française : en janvier, Roger Holeindre, alias « Popeye » nous quittait. Puis ce fut le tour du docteur Xavier Dor, emporté par le Covid. Le romancier Jean Raspail, auteur du livre prophétique le Camp des Saints le suivait de peu. Le mois dernier, c’était le tour du docteur Jean-Pierre Dickès…
Quand la relève se manifestera-t-elle ?
Fin de la liberté d’expression : Alain Soral a été interpellé. [Màj : libéré sous contrôle judiciaire]
Finalement, Alain Soral a été libéré, mais avec mis en examen et sous contrôle judiciaire. Il n’en a donc pas du tout fini avec cette histoire. On notera que le parquet, qui prend ses instructions directement auprès du ministère -autrement dit auprès de Dupont-Moretti, avait requis la détention provisoire, c’est-à-dire la prison.
La décision revenant cependant au juge d’instruction, il a été décidé de le libérer. Il est également intéressant de savoir ce qui est reproché au polémiste : « provocation publique non suivie d’effet, en appelant directement à commettre l’un des crimes et délits portant atteinte aux intérêts fondamentaux de la Nation, injure publique à raison de l’origine ou de l’appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée, provocation publique à la haine ou à la violence… », tout cela aurait eu lieu pendant la période de confinement…
D’après Le Parisien, « une phrase est particulièrement jugée inquiétante par les enquêteurs : il s’agit d’une vidéo mise en ligne appelant les citoyens « à s’armer » en vue d’une révolution. » On ne voit pas bien quel est le problème avec cette phrase : on peut s’armer intellectuellement, psychologiquement et même physiquement puisque la détention d’armes est légale pour certaines catégories. Dans la mesure où le contexte n’est pas donné, on ne voit en quoi cette procédure se justifie ! Sans aucun doute, Alain Soral est victime d’une police politique !
Goussainville : Le candidat communautaire, probablement fiché S pour radicalisme islamique, élu maire de la ville
Goussainville, 30.000 habitants, dans le Val d’Oise sera administrée pendant les 6 prochaines années par un maire communautaire, Abdelaziz Hamida, dont une rumeur persistante a dit qu’il était fiché S pour radicalisme islamique. En effet, c’est ce que l’express du 26 septembre 2019 affirmait, disant même : « Abdelaziz Hamida est réputé proche du mouvement fondamentaliste Tabligh, une organisation dont le nom a été cité dans le dossier judiciaire de la filière djihadiste de Lunel » Le néo-maire a certes porté plainte contre l’hebdomadaire, mais l’Express ne s’est pas rétracté pour autant, son article étant toujours en ligne !
Quoiqu’il en soit, Hamida qui se promenait en djellaba jusqu’en 2010, quand il présenta sa liste -qui ne peut être légalement composée que de Français-, n’hésita pas à dire : « On a des Français, des Turcs, des Noirs, des Arabes » ce qui lui avait valu ce tweet très naïf de Valérie Pécresse :
Ukraine. Des centaines de bébés bloqués montrent l’indécence de la GPA
Une fois n’est pas coutume, nous recommandons cette tribune parue dans Le Figaro montrant l’indécence de la GPA : des centaines de bébés-GPA sont nés ces derniers mois à Kiev, mais, du fait de l’absence de transport aérien lié au confinement, les commanditaires de ces enfants n’ont pas pu venir les chercher et les bébés se trouvent délaissés ! En effet, les femmes qui ont servi de matrices ne se sentent plus concernées car le contrat commercial qu’elles avaient signé prenait fin avec l’accouchement.
Le plus cynique dans cette histoire est que ce qui a permis la médiatisation de cette affaire est une image choquante publiée par une agence de GPA afin de rassurer ses clients et tenter de forcer la main du gouvernement ukrainien pour faire ouvrir les frontières ! Cela se retourne contre elle car cela a attiré l’attention sur ces enfants conçus et mis au monde en exécution d’un contrat, arrachés à leur mère à la naissance et vendus. On ne peut être que d’accord avec l’auteur de la tribune qui commente : « Cette affaire montre à quel point la « maternité de substitution » est contraire à la plus élémentaire humanité. »
Foot : Les supporters lensois refusent que des associations LGBT viennent leur faire la leçon
Le totalitarisme LGBT se répand de partout, et notamment dans le foot puisque ce week-end les capitaines des équipes de ligue 1 vont arborer un brassard au couleur LGBT. Jugeant cette propagande insuffisante, les associations LGBT se sont mis dans la tête d’aller rencontrer les supporters des équipes de foot. Difficile de faire dans plus grand totalitarisme : les gens viennent se divertir pour voir un spectacle, ils se retrouvent avec des discours qu’ils n’avaient pas demandés !
Dans ce contexte, on ne peut que féliciter les supporters de Lens qui ont refusé de rencontrer le collectif qui devait leur bourrer le crâne. Ainsi, nous dit Le Parisien :
« Les supporters lensois n’ont pas voulu discuter avec le groupe anti-homophobie Rouge Direct. »
Du reste, cette association ne se limite pas à porter la bonne parole, mais sait aussi se faire menaçante. Elle est particulièrement remontée contre les supporters de Lens qui auraient tenu des propos homophobes le 12 avril dernier, lors d’un match. Rouge Direct réclame notamment le « passage en commission de discipline » et une « action en justice contre les auteurs des injures homophobes, en particulier le capo, parfaitement identifiable ». Bref, elle est très belliqueuse et veut malgré tout rencontrer ceux qu’elle persécute. Difficile de faire plus hypocrite !
« Shoah-business » : l’État va doubler sa dotation au Mémorial de la Shoah
Alors que les gilets jaunes manifestent inlassablement semaine après semaine contre le racket fiscal, l’Etat pour réponse leur envoie l’armée, les traitant donc comme des ennemis. Et simultanément, ce même Etat déverse le fruit du racket sur les organismes voulant toujours culpabiliser les Français. Ainsi, Edouard Philippe a annoncé que la dotation qu’alloue l’Etat au Mémorial de la Shoah va doubler pour être portée à 2 millions d’euros par an.
Conformément à l’engagement pris par le Président de la République, je suis heureux d’annoncer une augmentation significative du soutien financier que l’Etat accorde au Mémorial de la Shoah. C’est l’un des apports de la convention triennale 2019-2021 que nous allons signer dans quelques instants. Dès cette année, l’Etat augmentera son concours de 50%. Et nous avons décidé de doubler notre participation à partir de l’année prochaine. Chaque année, l’Etat contribuera donc à hauteur de 2 millions d’euros à l’action du Mémorial. Ce doublement de notre contribution permettra au Mémorial d’amplifier encore son action de transmission et d’éducation, notamment en accueillant chaque année 10 000 élèves supplémentaires.
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PS : On relira ici comment se déroule un stage citoyen au Mémorial de la Shoah.
Opération d’agit prop : Blanquer annonce dans les lycées des « débats » sur le climat
Alors que les officines mondialistes ont décrété une « grève mondiale » (sic) pour le climat, le gouvernement organise des séances de bourrage de crâne puisque vendredi 15 mars dans les lycées, de 16 à 18h, des « débats » auront lieu à la place des cours ordinaires.
Ainsi, des cours nobles, tels que ceux de mathématiques, de science ou de littérature passeront à la trappe et les élèves se verront offrir 2 heures de bourrage de crâne en échange.
Car, posons tout de suite les choses : il ne s’agit pas d’un débat contradictoire pour savoir s’il y a réchauffement climatique ou non, et si oui, si celui-ci est anthropique (d’origine humaine) ou non.
Non, comme en matière d’histoire holocaustique, tout le monde sait que « Il ne faut pas se demander comment, techniquement, [cela] a été possible. Il a été possible techniquement puisqu’il a eu lieu. Tel est le point de départ obligé de toute enquête historique sur ce sujet. » Eh bien là, c’est pareil :
Nouvelle arnaque : 3 Franco-Israéliens escroquent 10 millions d’euros à des ONG soutenant les soldats français
On connaissait l’arnaque dite « du président » qu’Hervé Ryssen avait mise en évidence dans un de ses livres. En voici une variante dont les victimes sont des ONG ayant pour but d’aider les militaires français engagés dans des opérations extérieures.
Lu dans Time of Israël : (Extraits)
Trois Franco-Israéliens ont été arrêtés, soupçonnés d’avoir escroqué des organisations bien intentionnées en France. Au cours des mois écoulés, le groupe aurait extorqué 10 millions d’euros à des ONG françaises en se faisant passer pour des responsables des ministères français de la Défense et des Affaires étrangères, et ont parfois été jusqu’à prétendre qu’ils étaient eux-mêmes ces ministres.
Le groupe aurait contacté plusieurs organisations qui soutiennent la cause des soldats français, se présentant comme des responsables du gouvernement chargés de faire libérer des soldats retenus captifs par le groupe Etat islamique en Syrie ou par d’autres groupes militants au Mali.
La dégradation de la stèle de l’ancienne synagogue de Strasbourg était accidentelle
Il y a une semaine, la stèle de Strasbourg de l’ancienne synagogue avait été déplacée, ce qui avait suscité des réactions indignées hurlant à l’antisémitisme alors que personne ne savait rien de ce qui s’était passé. On lira, à titre d’exemple, ce qu’en disait Europe 1 ou bien ce qu’en disait l’adjoint au maire de Strasbourg ici. Même le ministre israélien des affaires étrangères avait réagi !
L’enquête a avancé et au final il ne s’agit que d’un simple accident de voiture, l’auteur sera jugé pour « défaut de maîtrise du véhicule » et rien d’autre. On peut du reste s’interroger du pourquoi de ces poursuites judiciaires alors qu’il n’y a aucun blessé corporel dans cet accident, mais passons. (Un simple constat aurait, semble-t-il, suffit !)
Puisse la vérité se faire sur de nombreux autres actes présentés comme antisémites, suscitant de nombreuses indignations alors que personne ne sait rien de ce qui s’est réellement passé, l’enquête n’ayant pas encore abouti !
Toulouse. Le scandale de la revente de l’aéroport par un groupe chinois qui empochera une plus-value de 192 millions d’euros
Il y a 4 ans et demi, le ministre de l’économie, un certain Emmanuel Macron, avait décidé de privatiser l’aéroport de Toulouse en vendant l’essentiel de ses parts (49,99 % du capital). Les réticences à l’époque furent nombreuses, mais le ministre, ancien banquier, n’y voyait officiellement que des avantages : entrée d’argent dans les caisses de l’État (celui-ci encaissait 308 millions d’euros dans l’affaire), et le repreneur s’engageait à investir 850 millions d’ici fin 2046, donc pérennité du site. Evidemment, le candide Macron, lors de la vente n’avait mis aucune clause et, au contraire, avait accepté toutes celles que les Chinois exigeaient. C’est ainsi que la vente fut faite.
Mais rapidement, une fois le contrat signé, les Chinois ont montré d’autres intentions et se sont intéressés à la trésorerie que l’aéroport avait amassée avant leur venue. Ils ont exigé le versement d’un dividende exceptionnel. Heureusement, ils ne contrôlaient que 49,99 % des parts et l’État, qui est toujours propriétaire de 10,01 % du capital, ne les a pas suivis (Emmanuel Macron n’était plus ministre de l’économie), même s’ils ont obtenu de juteux dividendes malgré tout. Dépités, les Chinois veulent maintenant revendre leurs 49,99 % de parts qu’ils détiennent et seraient en négociation avec un repreneur qui s’engagerait à les reprendre pour 500 millions d’euros.
La lâcheté, la naïveté et l’incompétence d’Emmanuel Macron leur permettent de réaliser une belle plus value que la France comblera en augmentant les taxes !
Décadence occidentale : voici le nouveau ministre de la culture suédoise
En France, nous qui avions eu Cécile Duflot, Nadjat Vallaud-Belkacem, Emmanuelle Cosse, et aujourd’hui Marlène Schiappa, nous pensions avoir eu le pire…
Il semble que non quand on voit le visage du nouveau ministre de la culture suédois… issu du parti des Verts (comme Duflot et Cosse…). Une véritable « punk à chien » !
Née d’une mère pharmacienne et d’un père pasteur protestant, on peut se poser la question de savoir quelles valeurs ce dernier lui a laissées…