dont nous vous avions parlé, est disponible ci-dessous.
Lu sur congresnationaliste.fr :
« Pari réussi pour le 3ème Congrès nationaliste !
Une très belle journée, dont le thème était « immigration : la réponse des nationalistes » et à laquelle ont participé au total pas loin de 800 personnes.
Dimanche oblige, une messe traditionnelle était tout d’abord proposée aux participants, qui remplirent la chapelle et eurent droit à un sermon de circonstance.
Puis une conférence fut donnée par François Bon, rédacteur à Contre-Info.com, sur la situation démographique de la France, ainsi que les prévisions que l’on pouvait faire sur l’état de notre pays dans une vingtaine d’années. Un tableau réaliste et effrayant.
Ce fut ensuite l’apéritif suivi d’un banquet gaulois où deux cents convives savourèrent de délicieux cochons rôtis à la broche.
Le repas fut animé par une joyeuse troupe de chanteurs, constituée en partie du chœur de la Joyeuse Garde, venu costumé.
Membres de la « Joyeuse Garde », après les discours de cloture.
Les interventions politiques débutèrent ensuite, avec Louis Lefranc, doyen du RF, qui rappela les véritables origines de notre nation – loin de n’être qu’immigration et métissage – et ces vertus ancestrales avec lesquelles il faut renouer.
Après quoi, un message de Bruno Gollnisch fut lu au micro, dans lequel le vice-président du FN donnait en quelques mots puissants sa vision du problème, soulignait l’importance du travail d’éveil des esprits et lançait un appel à l’unité des patriotes.
Puis, nos invités du parti national ukrainien Svoboda venus spécialement de Kiev, Igor Myrochnichenko (délégué du président) et Taras Osaulenko (responsables des relations internationales) prirent la parole pour témoigner de leur conception du nationalisme, donnant un point de vue pertinent sur l’immigration intra-européenne. Un beau discours, et un symbole fort de la coopération et de l’amitié entre nationalistes européens.
Alberto Torresano, délégué de la Falange espagnole venu spécialement de Madrid, intervint ensuite au cours d’une allocution au ton lyrique et émouvant dont il a le secret, pour expliquer les similitudes et différences entre les situations française et espagnole en ce qui concerne l’immigration.
Thomas Joly, secrétaire général du Parti de la France, conclut cette première série d’interventions au cours d’un discours inspiré et sans concession au politiquement correct. Il axa son message sur l’illusion et le leurre que sont la laïcité et les valeurs républicaines face à la colonisation migratoire et à l’islamisation de notre pays.
S’ensuivit une pause durant laquelle les participants purent jouir du très beau temps, qui avait fait mentir la météo, en fréquentant la buvette fort bien fournie et profitant de la terrasse.
Les stands, très nombreux cette année, connurent eux aussi un vif succès. Les visiteurs se succédaient sans interruption autour d’une quantité impressionnante de livres (neufs ou d’occasion), de disques (discutant au passage avec différents groupes), auprès d’auteurs, d’associations et mouvements variés, de revues et journaux, d’artisans, etc. Une occasion unique dans l’année de trouver tant d’objets et ouvrages liés à nos idées.
Sans oublier les divers stands régionaux, bien fournis, qui réjouirent la foule.
Une tombola fut mise en place cette année, afin de couvrir les dépenses d’organisation du Congrès. Félicitations aux différents gagnants !
En fin d’après-midi se déroulèrent les dernières interventions.
Avec sa verve habituelle, Jérôme Bourbon, directeur de l’hebdomadaire Rivarol, dressa un tableau cinglant de la situation française, fustigeant habilement les politiciens au pouvoir et leurs agissements ubuesques.
Pour finir, il revenait à Thibaut de Chassey de conclure le Congrès. Il rappela les méfaits de l’immigration-invasion dans tous les domaines (y compris pour les déracinés eux-mêmes), dénonçant la conception républicaine et irréaliste de la nation. Puis, a contrario des élites qui veulent nous persuader que notre disparition serait bonne, naturelle et irréversible, il rappela que l’inversion massive des flux migratoires n’était pas impossible (en donnant des pistes réalistes), mais surtout que c’était là le prix de notre survie, et que le politique est l’art de rendre possible ce qui est nécessaire.
Alberto Torresano, T. de Chassey, Igor Myrochnichenko, Taras Osaulenko
De l’avis général, le bilan du Congrès fut très positif, ce qui n’empêche que quelques améliorations sont déjà envisagées pour la prochaine fois.
Les nombreux participants ont pu en ce 16 mai réfléchir – voire apprendre -, faire d’utiles emplettes, retrouver des connaissances ou en faire, passer un beau dimanche dans un cadre magnifique, entre patriotes, dans une ambiance d’amitié française.
Une journée bonne pour le moral.
Et le moral, pour le combat nationaliste, c’est essentiel. »
C’était vraiment une excellente journée…
Merci de tout coeur aux organisateurs.
Dommage qu’il n’y en ait qu’une fois par an !
Un grand merci au Renouveau Français pour ce congrès. C’est à chaque fois un grand moment de camaraderie franche et sincère qui marque la venue du printemps. Les intervenants sont toujours de qualité, le banquet festif, les stands opulent et toujours, toujours cette magie de croiser de grandes figures du nationalisme au détour d’une rencontre. Le cadre en cette année fut particulièrement soigné et l’ambiance fleurait vraiment bon la France. Vivement vivement l’an prochain, que nous nous retrouvions tous ensemble pour fêter le pays, les pays, les régions de notre chère patrie.
Il manquait toutefois un rien, un tout petit rien, un concert la veille pour nourrir notre entrain, un feu de joie sans doute pour chauffer en son sein, un chœur, un chant pour sceller la concorde de nos âmes bien tristes attachées à leur sort.
Mais comme à votre habitude sans doute, vous ferez que demain nous soyons de vous plus fier qu’hier.
Encore merci et salut à tous, salut à la victoire!
Merci aux organisateurs.
Vivement le prochain.