Ravi Karkara vient de se voir infliger la plus forte sanction existant dans l’arsenal des peines de l’ONU après avoir été convaincu de diverses agressions sexuelles sur des collègues masculins plus jeunes que lui. Haut fonctionnaire à l’agence ONU-Femmes, ce ressortissant indien travaillant à New York était particulièrement chargé de promouvoir l’égalité de genre et de favoriser la mise en place de partenariats entre adolescents et adolescentes pour aboutir à une transformation de la société sur ce plan. Il a été licencié vendredi dernier.
On peut lire sa prose progressiste dans cette brochure onusienne dont il assumait la responsabilité éditoriale, avec l’inévitable insistance sur la nécessité pour tous les jeunes de recevoir une « éducation de qualité sur la santé sexuelle et reproductive », filles comme garçons, « sur une base inclusive, équitable et universelle », et sur la traque des « stéréotypes de genre ».
Lire la suite sur Reinformation.tv…