Une école catholique se trouve à proximité d’une tour HLM peuplée par qui l’on devine. Résultat : les déchets – même lourds – pleuvent dans la cour. Sans parler d’autres nuisances intolérables. Résultat : l’école ferme.
Cette lamentable histoire symbolise bien les deux France en train de s’affronter à mort (elles ne cohabiteront pas éternellement, l’une chassera l’autre : aux Français de choisir) : d’un côté la « France d’avant », catholique, française et civilisée, et la « France d’après » (comme le disait avec fierté Sarközy) : grand-remplacée, tiers-mondisée, ensauvagée, inhumaine.
Notons un point important : la tour HLM a été rénovée il y a peu pour 11 millions d’euros. Contrairement à ce que disent les remplacistes, si la criminalité et la sauvagerie règnent dans certains quartiers (et en rayonnent), ce n’est pas à cause de l’environnement urbain et social dégradé (par qui? …). Des centaines de millions sont déversés en vain sur les « banlieues » chaque année. Le problème est autre et le Régime empêche d’en parler.
« Des bouteilles, des poubelles éventrées, des mégots pas éteints… et même, à l’occasion, une machine à laver ou un frigo. Parce que sa cour de récréation est devenue un dépotoir, que les habitants de l’immeuble qui la surplombe ont pris l’habitude de jeter leurs déchets par les fenêtres, une école primaire va fermer. L’établissement catholique privé Monseigneur Cuminal, situé au bas d’une tour du quartier Étouvie à Amiens, a annoncé jeudi qu’étant « devenu impossible d’assurer la sécurité des élèves et personnels », il quitterait définitivement les lieux à la fin de l’année scolaire.
«Depuis plusieurs années, la sécurité de l’école ne cesse de se dégrader, avec une accélération depuis la rentrée de septembre 2020, écrit Sylvie Seillier, directrice diocésaine de l’enseignement catholique de la Somme, dans un communiqué. Cette annexe de quatre classes de l’école Saint-Jean, ouverte en 1997, subit quotidiennement les jets d’objets et de déchets en tout genre lancés depuis les étages au pied des classes. Des agressions du voisinage, différents trafics à proximité, des intrusions et occupations sauvages de la cour, des rodéos près de l’école participent à l’insécurité et empêchent l’école de fonctionner normalement.»
À la SIP, le bailleur social propriétaire du bloc d’immeubles les Coursives, qui «a investi 11 millions d’euros depuis 2012 pour la rénovation des logements et des parties communes», on confirme que «les équipes de proximité passent beaucoup de temps à nettoyer les abords». «Un jour, j’ai failli me prendre un micro-ondes sur la tête», a raconté un employé de l’entreprise de nettoyage à la journaliste de France Bleu Picardie, qui elle-même manquera, lors de son reportage, d’être «assommée» par une boîte de conserve… [….] » (source et suite Le Figaro)