C’est un grand classique, cette fois joué par une militante de l’Unef (syndicat étudiant de gauche, majoritaire).
Ayant déclaré avoir été agressée, insultée puis menacée dans le quartier de Bastille à Paris le 21 octobre dernier (ce qui avait déclenché un certain émoi médiatique, et avait été repris lourdement par Le Monde par exemple), une militante de l’Unef a reconnu aux enquêteurs avoir menti.
Étudiante à l’université de Nanterre, la donzelle avait porté plainte expliquant avoir été bousculée le 21 octobre dernier dans le quartier de Bastille, puis insultée et menacée : « on va te violer, sale Arabe. On sait où t’habites, sale gauchiste ».