Tiens, les « complotistes » avaient-il finalement raison d’être inquiets ?
« Rendre la vaccination obligatoire ? Emmanuel Macron a évoqué cette possibilité, en marge de son déplacement au Rwanda, ce jeudi 27 mai. Le débat est relancé depuis la parution, ce mardi 25 mai, d’un avis de l’Académie nationale de médecine favorable à cette option, au moins dans un premier temps pour les professions à risques. Selon l’autorité, c’est le seul moyen d’atteindre « une immunité collective suffisante pour contrôler l’épidémie ».
« Aucune porte n’est fermée par essence », a indiqué président de la République, dans des propos rapportés par BFM TV. Mais il a rapidement expliqué que ce n’était pas encore la solution privilégiée par le gouvernement. « La conviction qui est la nôtre depuis le début de la crise, c’est qu’il est plus efficace de miser sur la confiance et la conviction », a-t-il confié.
Emmanuel Macron a aussi précisé qu’il ne rendrait pas la vaccination obligatoire sans un « un avis scientifique fort », en citant comme exemple les différents vaccins rendus obligatoires au cours de son mandat pour les enfants. […] » (source Midi libre)
« d’atteindre une immunité collective suffisante pour contrôler l’épidémie » : alors qu’on nous dit que les vaccinés restent contagieux…
« ce n’était pas encore la solution privilégiée par le gouvernement. » : on sait quel crédit donner à ce refrain qu’on a entendu plusieurs fois depuis un an…
« en citant comme exemple les différents vaccins rendus obligatoires au cours de son mandat pour les enfants » : alors que les controverses sur les vaccins administrés aux tout-petits n’ont pas été prises en compte (par exemple le nombre de cas d’autisme a explosé depuis quelques décennies « sans explication » – voir les livres ici, là ou là), Macron et le sinistre agent des laboratoires Agnès Buzyn, qui s’est « brillamment » illustrée dans la lutte contre le Covid, ont fait passer le nombre de vaccins obligatoires de 3 à 11. Un énorme scandale.
Et un « exemple », selon Macron.
Mais les controverses ne semblent pas l’effrayer, comme on le voit avec ces nouveaux vaccins contre le Covid, à l’efficacité toute relative, et dont on ne connait pas encore les effets secondaires à terme alors que l’ARN des piqués est pris à partie. Macron, soutenu (et aiguillé?) par des puissances considérables, ne redoute que le rapport de force.