Si on peut compter sur Israël pour une chose, c’est la défense de ses intérêts… En effet, Marine Le Pen est dans la tourmente médiatique depuis hier. Dans le cadre de l’émission Le Grand Jury RTL-LCI-Le Figaro, elle a déclaré : « S’il y a des responsables, c’est ceux qui étaient au pouvoir à l’époque, ce n’est pas la France. La France a été malmenée dans les esprits depuis des années. On a appris à nos enfants qu’ils avaient toutes les raisons de la critiquer, de n’en voir les aspects historiques que les plus sombres. Je veux qu’ils soient à nouveau fiers d’être Français. »
Il n’en fallait pas plus pour que toutes les officines de l’État juif en France se déchainent (CRIF, UEJF, LDJ). Pour finir, c’est la maison-mère qui intervient :
Michal Maayan, porte-parole du ministère des Affaires étrangères de l’Etat juif affirme « condamner les déclarations de Marine Le Pen disant que la France n’était pas responsable de la déportation des juifs sur son territoire pendant l’Holocauste ». Ces déclarations « vont contre la vérité historique, comme elle a été présentée par les présidents français qui ont reconnu la responsabilité du pays » dans la Shoah a dit le représentant du gouvernement israélien. « Cette reconnaissance est l’une des fondations du devoir de mémoire pour la déportation des juifs de France (…), élément important dans la lutte contre l’antisémitisme, qui, malheureusement, fait son retour aujourd’hui ». (source)
Dans le cadre de dédiabolisation de son parti, Marine Le Pen essaye de se rendre en Israël depuis des années. Désormais, ses projets risquent d’être reportés.