Des jeunes gens sains et normaux, étudiants à l’ICES (faculté jusqu’alors présentée comme « libre » et « catholique »), ont réagi virilement mais non violemment devant une choquante provocation de militants homosexualistes faisant de la propagande en pleine rue.
Ces étudiants sont maintenant persécutés et par la justice, et par l’ICES elle-même, qui, terrorisée, s’est lamentablement couchée devant les nouveaux maîtres antichrétiens de l’époque. L’établissement ose parler dans son communiqué de « respect de la dignité humaine », n’ayant visiblement pas compris ce qu’elle est réellement, du point de vue catholique et naturel (le Christ chassant les marchands du Temple à coups de fouet et renversant leurs comptoirs, qu’était-ce ?!).
Ne parlons pas du BDE et autres associations de l’établissement « catholique » progressiste, qui condamnent « l’homophobie et la transphobie » [sic] dans un communiqué pitoyable relayé par le compte twitter très décadent de l’ICES.
Le traitement de cette non-affaire, comparé à celui (inexistant) d’agressions graves et de tentatives de meurtre sur des gens de droite, est ahurissant.
Lu sur Breiz-Info :
« l’ICES (Institut catholique d’études supérieures) vient de rendre son verdict et d’exclure définitivement deux étudiants de l’école, catholique. Une sanction jugée délirante par de nombreux internautes catholiques, choqués, tandis que Philippe de Villiers, le fondateur de l’école, laisserait entendre de larges divergences avec ceux qui ont pris cette décision. « L’ICES devrait enlever le terme catholique de son appellation, cela correspondrait plus à ce qu’est devenu l’école » nous glisse un étudiant de cette école, particulièrement remonté contre la sanction visant ses collègues.
Le lobby LGBT aurait-il une influence croissante en France y compris jusqu’au niveau judiciaire ? Au vu des évènements récents à la Roche-sur-Yon, on peut s’interroger. Ainsi, des jeunes se voient convoqués, en juillet prochain, devant le tribunal correctionnel, accusés de violences et dégradations, mais aussi d’injures publiques à raison de l’identité sexuelle ou identité de genre (un an d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende) ou encore d’« entrave concertée avec voies de fait et dégradation à l’exercice de la liberté de réunion et de manifestation » (trois ans d’emprisonnement, 45 000 € d’amende).
Les dix-huit mis en cause sont 14 jeunes hommes et quatre jeunes femmes, tous avec un casier judiciaire vierge. Deux font l’objet d’un rappel à la loi et quatre bénéficient d’un classement sans suite. Tous les autres étudiants sont renvoyés devant la justice notamment pour des faits « d’injures à raison de l’orientation sexuelle », auxquels s’ajoutent pour certains des faits de « violences », avec ou sans incapacité. L’audience a été fixée au 18 juillet à 9 heures devant le tribunal correctionnel.
Homofolie, ça suffit ? Une injure à connotation homophobe
Le « crime » commis ? Avoir déambulé et perturbé la bonne tenue d’une démonstration du centre LGBT de Vendée sur la place Napoléon, le 18 mai dernier, à La-Roche-sur-Yon. La vidéo parle d’elle même : on y voit un groupe de jeune arriver, chanter « homofolie ça suffit », un des jeunes prendre un drapeau homosexuel (il est poursuivi pour vol), sans violence, arracher des ballons de baudruche, et un autre renverser un stand métallique avant de partir. Un des jeunes, pris à partie par les militants LGBT, restera un peu plus longtemps. Pas de violence constatée sur la vidéo, même si deux septuagénaires militants de la cause LGBT ont présenté des certificats médicaux…. attestant de 8 et 10 jours d’incapacité totale de travail. Point final.
C’était sans compter l’agitation mise par les militants LGBT sur les réseaux sociaux. Vidéo mise en ligne, militants de la Manif pour tous (ou proches) vilipendés, dénoncés, harcelés. Sur le groupe de 18 jeunes mis en cause, 12 ont particulièrement pris la foudre puisqu’après une enquête express — dont d’autres citoyens ne bénéficient pas lorsqu’ils sont agressés, cambriolés — douze des jeunes ayant perturbé la kermesse LGBT sont convoqués au tribunal pour une audience le 18 juillet prochain.
On ne badine pas avec « l’homophobie » qui prend tout de même actuellement des airs « d’homofolie » quoi que même l’emploi de ce terme constitue désormais, pour le procureur Hervé Lollic qui semble avoir déjà un avis tranché sur la question « une injure à connotation homophobe ».
Il est intéressant de rechercher, dans la presse, une telle campagne médiatique ou judiciaire lorsque des syndicats politiques, classés à droite, sont attaqués physiquement à la faculté à Rennes. Ou lorsque des catholiques sont constamment salis et attaqués à Brest. Si vous trouvez des suites judiciaires ou des larges campagnes de presse, nous sommes preneurs. Mais quelque chose nous dit que vous ne trouverez pas….
Bruno Retailleau et l’Institut catholique de Vendée hurlent avec les hyènes
Le catholique Bruno Retailleau, président du groupe Les républicains au Sénat, conseiller régional des Pays de la Loire, a immédiatement, anticipant toute décision judiciaire et ne suivant que le vent de la presse mainstream, condamné « l’incident ».
je condamne fermement ces comportements inadmissibles. Ces manifestations de haine sont lamentables https://t.co/QbSEvemKkV
— Bruno Retailleau ن (@BrunoRetailleau) 19 mai 2019
Une condamnation qui ne l’a pas empêché d’être persona non grata lors d’une manifestation contre l’homophobie organisée quelques jours après. L’incarnation de la droite schizophrénique balayée aux dernières élections européennes ?
Bruno Retailleau n’est pas le seul à avoir « hurlé avec le Diable ». Luc Bouard, le maire de La Roche-sur-Yon, a sauté sur l’occasion pour appeler à la mobilisation contre « l’homophobie ». Mais pire encore, l’Institut catholique de Vendée, dans lequel sont inscrits ces jeunes âgés de 18 à 22 ans et qui les a immédiatement convoqué en conseil de discipline. Un peu comme si un étudiant suspecté d’avoir commis un excès de vitesse se voyait convoqué par la direction de son université pour devoir en répondre… ubuesque, mais possiblement lourd de conséquences pour ces jeunes étudiants, avant toute chose opposés au mariage homosexuel, à la GPA, à la PMA et au règne du lobby LGBT… c’est-à-dire fidèles aux préceptes de l’Église catholique, dont se revendique l’Institut non ? Nous y reviendrons plus tard…
En attendant, ces jeunes de 18 à 22 ans, qui n’ont commis aucune violence physique sont lynchés — un peu comme on jetait certains catholiques aux lions dans l’Antiquité. Lynchage médiatique — la presse mainstream ne leur a pas donné la parole, se contentant des propos du procureur et des militants LGBT — lynchage politique, en attendant le lynchage professionnel (si des sanctions disciplinaires pénalisant leurs études étaient prises) et le lynchage judiciaire. Sans la moindre voix dissidente pour les défendre.
Nous posions, en début d’article, la question de savoir si le lobby LGBT avait de plus en plus d’influence en France, y compris au niveau judiciaire. Cette affaire dans laquelle la Justice se montre d’une rapidité qu’on ne lui connaissait pas et des réactions publiques proches de l’hystérie semble permettre de répondre par l’affirmative…. »