L’horrible ministre de la « Justice », le multi-millionnaire gauchiste Eric Dupont-Moretti (avocat célèbre pour avoir défendu des accusés de pédocriminalité dans le bizarre procès d’Outreau, nous n’en dirons pas plus ici) commence à accomplir ce pourquoi il a été nommé.
Ce « fier » défenseur d’islamistes et de tout un tas de crapules est un partisan de la liberté pour tous… sauf pour ceux qui contestent l’idéologie dominante, par patriotisme, amour de la famille ou piété chrétienne. Là, même plus de liberté d’expression, de critique.
Sous le prétexte hypocrite de « lutter contre la haine », tout propos s’éloignant du « politiquement correct » risque de valoir à son auteur perquisition ou arrestation sur son lieu de travail, garde-à-vue de 48h et passage directement devant le juge :
On ne pourra bientôt plus du tout critiquer l’invasion migratoire (et le génocide par substitution qu’elle entraîne), la promotion de l’homosexualité, le rôle des lobbies, etc. A moins de s’exprimer de façon très elliptique.
Ce n’est ni plus ni moins que du terrorisme judiciaire.
Quand nous parlons ici régulièrement de totalitarisme du Régime, ce n’est donc pas une image ou une figure de style.
La solution – pour éviter ce qui est littéralement une justice expéditive – est d’avoir « une carte de presse », c’est-à-dire le statut officiel de journaliste, ce qui est bien sûr hors de portée (vues les conditions) de la plupart des rédacteurs de blogs ou sites de réinformation, et a fortiori des simples citoyens qui manifestent sur facebook ou Twitter (ou dans les commentaires d’un site) leur désapprobation, leur étonnement ou leur ironie vis-à-vis de tel ou tel sujet que le gouvernement ne veut pas qu’on touche.
Nous approchons de la phase finale !