Voici ce à quoi sont confrontés des élèves de 10 ans dans les écoles de la République : « Visionnage de films à caractère pornographique, exhibitionnisme, masturbation dans la cour de récréation, attouchements des parties intimes, diffusions de photos dénudées ou vidéos sur les réseaux sociaux, réalisations de vidéos à caractère pornographique, etc » !
Nous rappelons aux lecteurs de Contre Info qu’il existe de nombreuses écoles hors contrat qui, si elles ne sont pas totalement imperméables aux horreurs de notre temps, protègent et instruisent les jeunes Français.
Voici le lien d’une carte de France des écoles catholiques : ici
Trouvé sur Valeurs Actuelles : Des dérives dans le comportement des élèves de collèges. C’est l’observation de la directrice du collège de Mios, en Gironde, qui s’inquiète de « l’hypersexualisation » des jeunes, rapporte France 3. Elle a pris l’initiative d’écrire aux parents d’élèves, pour évoquer le comportement inadapté de certains adolescents et dénoncer l’exposition précoce aux images pornographiques.
La liste des agissements est longue : « Visionnage de films à caractère pornographique, exhibitionnisme, masturbation dans la cour de récréation, attouchements des parties intimes, diffusions de photos dénudées ou vidéos sur les réseaux sociaux, réalisations de vidéos à caractère pornographique, etc. ». Dans sa lettre, la directrice du collège met en garde les parents pour plus de vigilances. Elle signale que les enfants ont accès à des contenus pornographiques et en parlent dès 10 ans.
« Nous tenions à vous alerter afin que vous puissiez être attentifs auprès de votre enfant quant à l’utilisation de son téléphone portable ou autre appareil avec une connexion Internet lui laissant un libre accès vers des sites interdit aux mineurs », écrit la directrice dans son courrier. L’influence du web n’est pas négligeable, les élèves reproduisent ce qu’ils y voient : « des danses suggestives comme le Twerk, des danses sensuelles, ce que la société montre à nos enfants », déplore Delphine Nadeau, présidente de l’association des parents d’élèves FCPE.
Si certains parents ont bien reçu la mise en garde, d’autres préfèrent parler « d’erreur de jeunesse ». Ou comment banaliser les passages à l’acte, déplore la directrice.