Le Tribunal Pénal International (TPI) de la Haye a ordonné ce jeudi 6 novembre 2014 la remise en liberté provisoire du leader nationaliste serbe Vojislav Seselj pour « raison humanitaire ». Il souffre d’un cancer généralisé…
Les juges ont posé deux conditions à cette mise en liberté :
– il ne doit avoir aucun contact avec les personnes ayant témoigné lors de son procès.
– il doit se présenter devant les juges si ceux-ci l’exigent.
Mais Vojislav Seselj refuse tout accord avec le TPI dont il ne reconnaît pas la légitimité.
Il est le principal chef nationaliste serbe, et président du « Parti radical serbe » (dont une scission est actuellement au pouvoir). Prisonnier des geôles mondialistes depuis presque 12 ans, il n’a jamais cédé.
Il s’était rendu à une convocation du Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie (TPIY), à La Haye, en février 2003.
Depuis cette date, il y est retenu prisonnier, pour un procès toujours en cours et marqué par divers scandales (notamment le procureur Carla Del Ponte accusé d’avoir exercé des pressions sur les témoins à charge : chantage, menaces, pots-de-vin, etc.)
Il était accusé de crimes et d’incitation à la haine durant la guerre de Yougoslavie, dans les années 90.
Quoiqu’il se soit réellement passé durant cette période tragique, il convient de rappeler que le TPIY n’a aucune légitimité, et que cette structure judiciaire supranationale est une aberration juridique, au service du mondialisme.