Dans les transports en commun de Bordeaux, la ville dirigée par Alain Juppé, fleurissent des affiches incompréhensibles pour ceux qui ne sont pas informés des derniers délires gaucho-féministes.
Elles fustigent le « manspreading », mot anglais, pas même traduit, désignant une tendance des hommes à écarter les jambes quand ils sont assis.
Que reprochent les affiches de la régie bordelaise des transports en commun (avec le site gouvernemental stop-violences-femmes.gouv.fr) aux hommes qui se laissent aller à cette position (plus confortable pour des raisons évidentes) ?
Ce n’est pas son inélégance ni le fait qu’elle puisse gêner physiquement les voisins ou encombrer des sièges vides…
Non, la « gauche tarée » considère que se tenir ainsi c’est « exhiber », et même « harceler » !
Donc d’une part les malades mentaux qui sont aux commandes ont une interprétation délirante de la réalité, d’autre part ils sont primairement anti-masculins car toutes les affiches de cette « campagne » sont dirigées contre les hommes.
Une mini(micro?)-jupe, ce n’est pas de l’exhibition par exemple ; l’exhibitionnisme n’est que masculin, c’est bien connu.
Et il s’agit bien sûr là des principaux problèmes que connaissent les Français…
Bref, cela manifeste encore que le gauchisme (dont le féminisme) relève de la folie. Et que la fausse droite en est à la remorque.
le parfait exemple de détournement de fonds publics au profit du lobby féministe qui incite à la haine quand ce n’est pas à la violence pure et simple.
Bref, ces défenseurs acharnés de la pornographie, de l’érotisme, de la débauche, des moeurs contre nature et du blasphème public pseudo-artistique pensent avoir trouvé là un moyen de se refaire une vertu. Ils réussissent surtout le tour de force d’être tout à la fois ignobles, stupides et grotesques. On les applaudit très fort.
Que le chauve ne supporte pas les hommes ayant des couilles se comprend aisément….