L’hebdomadaire de l’opposition nationale (site internet) ose mettre les pieds dans le plat en ce qui concerne la succession du Front national.
Ci-dessous un article de son directeur, le courageux Jérôme Bourbon, paru dans l’édition de cette semaine, qui révèle notamment des aspects peu connus de Marine Le Pen.
« C’est officiel depuis le 30 juin. Bruno Gollnisch et Marine Le Pen ont réuni les conditions nécessaires pour être candidats à la présidence du Front national en janvier 2011. La benjamine de Jean-Marie Le Pen a réuni 68 signatures de secrétaires départementaux, Bruno Gollnisch 30, trois secrétaires fédéraux s’étant par ailleurs abstenus. Que le vice-président du FN, dans un parti “marinisé” depuis des années, et singulièrement depuis l’accession de Louis Aliot au secrétariat général en octobre 2005, ait réuni dix signatures de plus que le minimum réglémentaire (20), est une surprise puisque l’universitaire lyonnais, qui avait demandé et obtenu l’anonymat des signataires, craignait que des responsables départementaux ne soutinssent pas sa candidature par peur des représailles. Ceux qui veulent adhérer ou réadhérer au Front national pour pouvoir voter doivent le faire avant le 3 décembre, date limite des inscriptions reçues au siège national. Finalement, pour des raisons pratiques, le vote pour l’élection du président du Front national et du nouveau comité central se fera uniquement par correspondance.
Les adhérents à jour de cotisation recevront chez eux, à partir du 14 décembre, le matériel pour pouvoir voter. Et ils devront renvoyer le tout complété entre la mi-décembre 2010 et le 8 janvier 2011. La proclamation des résultats se fera le dimanche 16 janvier, avant la clôture du congrès de Tours.
DITHYRAMBES DU PÈRE ENVERS LA FILLE
Le jour même de la publication officielle par le secrétaire général chargé de l’organisation du congrès Jean-François Jalkh du nombre des signatures recueillies par les deux candidats, Jean-Marie Le Pen, de concert avec sa fille, donnait une interview sur deux pages à France Soir où, pour la première fois depuis que le calendrier de la succession est connu, le président du Front national affirmait son soutien plein et entier à sa benjamine et ne tarissait pas d’éloges à son égard: “Elle a les qualités nécessaires et j’espère suffisantes pour assumer demain les fonctions auxquelles elle aspire: d’abord, la présidence du Front national, ensuite une candidature à l’Elysée. Mais elle n’est pas moi. Elle a son propre vécu, comme on dit.” Dithyrambique, le père égrène les mérites de sa fille: “Elle en a, des qualités! Marine a les qualités physiques, mentales, psychologiques, intellectuelles, affectives, caractérielles nécessaires. Il ne faut pas sous-estimer la charge que représentent ces combats-là, et elle s’est entraînée à cela. Pour “y aller”, il faut en avoir envie, il faut avoir la niaque. Et puis il faut regarder les choses en face: ça l’amène à sacrifier une partie de sa vie. Mais elle est une chance pour la France.” Et le Menhir d’affirmer que Marine Le Pen peut parfaitement l’emporter lors de la présidentielle de 2012: “Si elle bat Martine Aubry, ce serait, pour moi, l’aboutissement de cinquante ans de combat. La victoire de Marine, je la vivrais comme une joie profonde.”
Ce qui est surprenant, ce n’est pas que Jean-Marie Le Pen soutienne sa fille (c’est un secret de Polichinelle depuis 2002) mais qu’il le fasse si tôt, alors même que la campagne officielle n’est pas ouverte puisqu’elle débute officiellement le 1er septembre. Jusqu’alors il répétait que ce serait aux adhérents, et à eux seuls, de choisir son successeur. Voilà que désormais le patron du FN s’engage personnellement dans la bataille. Et il ne le fait pas qu’à moitié. Car, après avoir couvert de fleurs sa fille, il attaque assez violemment son concurrent: “Gollnisch ferait demain un très bon ministre des Affaires étrangères” ironise Jean-Marie Le Pen qui n’aime rien tant qu’humilier ses plus fidèles collaborateurs. Et le fondateur du FN d’ajouter, toujours à propos de Bruno Gollnisch, pour justifier son éventuelle nomination au Quai d’Orsay: “Il a une culture très vaste, des convictions très établies, une vie exemplaire” ?
Autant de qualités essentielles dont soit dit en passant Marine Le Pen se trouve fort dépourvue.
ATTAQUES TOUS AZIMUTS ET CONTRADICTOIRES CONTRE GOLLNISCH
Puis l’attaque se fait plus véhémente : « Le problème de Gollnisch, insiste Le Pen, c’est que ses amis sont extérieurs au Front, parce qu’ils l’ont quitté : Carl Lang, Bernard Antony, Jacques Bompard… Bruno veut organiser, comme il dit, le retour au bercail de toute l’extrême droite. Et puis il y a son ami Pierre Sidos. » Façon de refiler au vice-président du Front le mistigri de l’extrémisme et de nier sa légitimité interne. Et Le Pen de conclure, dans une allusion transparente à Gollnisch : « Malheur aux peuples dont les chefs ont la main molle, et malheur, plus encore, à ceux dont les chefs veulent être aimés ! Un chef doit être respecté et obéi. Etre aimé, cela n’a aucun sens. » Outre qu’il est assez contradictoire d’être à la fois traité de mou et d’extrémiste, il semble que dans la résistance à la dictature morale du Politiquement Correct, dans la fermeté des convictions, il n’y a pas photo, comme disent les jeunes, entre Marine Le Pen et Bruno Gollnisch. De plus, nous n’avions pas remarqué que Le Pen ne souffrait pas d’être aimé. On avait plutôt l’impression qu’il goûtait particulièrement les flatteries des courtisans !
Quand le père cesse d’attaquer Gollnisch, c’est la fille qui s’y met avec une rare élégance. Elle ose ainsi déclarer à France-Soir qu’elle est plus ancienne au Front que lui : « Ma première carte officielle du FN remonte à 1987. Lui, c’est 1988. Je peux même dire qu’avec l’attentat qui a ravagé l’appartement de notre famille dans le XVe, alors que j’avais 8 ans, je suis encore beaucoup plus ancienne que ça au Front. Je vais vous dire : Bruno est un homme extrêmement respectable dont j’aurai besoin, mais c’est un prof d’université, assez loin du terrain. La bonne question, c’est : qui, de nous deux, est le mieux placé pour porter loin les idées du Front ? » La bonne question ne serait-elle pas plutôt : qui est le plus digne, le plus capable, le plus vertueux pour assumer la tâche de président du FN et pour rassembler la mouvance nationale ? Qui est le mieux à même de ne jamais trahir les positions fondamentales du nationalisme ? Récemment Marine Le Pen avait confié : « Bruno Gollnisch veut rassembler l’extrême droite, cela peut être une stratégie, moi je veux rassembler les Français. » Le problème, c’est qu’avant de rassembler les Français, il faut d’abord savoir rassembler son camp. Ce qui exige beaucoup de qualités humaines et morales et ce qui ne passe sûrement pas par des purges à répétition de tous ceux qui ne vous font pas personnellement allégeance !
Enfin, consciente d’avoir une image plus modérée, plus centriste que son concurrent, Marine Le Pen soupçonne carrément ce dernier de vouloir s’allier à l’UMP : « Moi, je n’entends, ni aujourd’hui ni demain, m’allier à l’UMP. En revanche, Bruno est beaucoup moins clair sur ce sujet. C’est un fait : ceux qui soutenaient Gollnisch et ont quitté le FN sont tous allés se vendre à l’UMP. » Outre qu’il est faux de dire que tous les transfuges du Front ont rejoint l’UMP ou s’en sont rapprochés (ce n’est pas le cas par exemple de Carl Lang), il faudrait savoir : on ne peut à la fois accuser Gollnisch d’extrémisme, ironiser sur son « ami Pierre Sidos », symbole du nationalisme intransigeant, et en même temps dire qu’il pourrait s’acoquiner avec le parti de Sarkozy. C’est aberrant ! De surcroît, Marine Le Pen a beau se grimer en anti-sarkoziste en chef pour les besoins de la campagne électorale interne et dans la perspective de 2012, elle a pourtant beaucoup de points communs avec le locataire de l’Elysée. Comme Sarkozy Marine Le Pen (Madame ex-Chauffroy, ex-Iorio) est deux fois divorcée. Comme lui elle est pour le Pacs, la loi Veil et l’euthanasie. Comme lui elle soigne ses liens avec la communauté juive et l’Etat d’Israël. Comme lui elle est favorable à un « islam de France ». Comme lui elle est vulgaire, sans éducation, sans bonnes manières, sans convictions, sans culture politique et historique, se croit tout permis. Comme lui, elle est de son temps, c’est-à-dire qu’elle est une opposante purement médiatique où la forme tient lieu de fond et où la communication est une fin en soi. Ainsi que le notait avec sévérité le professeur Jean-Claude Martinez dans Le Point du 29 avril : « Avec elle, c’est tout dans la com’ et la légèreté. Elle incarne l’ère du vide. Elle parle bien à la télé, oui, et alors ? On ne demande pas à Moïse de bien parler, mais de dire où se trouve la France promise ! Elle est uniquement portée sur le sociétal et les questions en vogue. Marine, c’est Delanoë plus la peine de mort ! » Et encore pour la peine de mort, ce n’est pas si sûr puisque le Parti populiste avait justement épinglé l’une de ses déclarations faites lors d’un déplacement à Lattes le 6 mars, à une semaine des régionales et où elle s’affirmait contre la peine capitale, ainsi que l’avait titré le lendemain le quotidien local Midi libre : « A Lattes, Marine Le Pen contre le retour de la peine de mort. »
LE RETOUR DE LA PME FAMILIALE
On peut s’interroger sur le pourquoi d’une telle agression concertée contre Gollnisch. Jean-Marie Le Pen prend des libertés avec la règle qu’il s’était fixée. Il fallait, disait-il, vanter ses propres qualités et ne pas dénigrer l’autre. Or, c’est ce que sa fille et lui ont fait dans France Soir. S’agirait-il d’un aveu de faiblesse ? Auraient-ils conscience que les jeux ne sont pas faits contrairement à ce que les media du Système veulent faire accroire ? On sait comment une bataille commence mais nullement comment elle finit. Toujours est-il que, deux jours plus tard, Le Pen ajoutait sur RFI que « Marine est mieux carrossée politiquement (sic !) que Gollnisch. » Mais si le président du FN souhaitait absolument que ce fût sa fille, et personne d’autre qui lui succédât, ainsi que l’avait titré Libération dès 2003, « FN : Le Pen prône la solution filiale », on se demande pourquoi l’on a pris soin d’organiser une telle compétition et de demander leur avis aux adhérents. La solution eût pu être monarchique, mais une monarchie qui aurait rompu avec la loi salique, avec ce principe selon lequel le royaume de France ne doit pas tomber en quenouille.
Nous avons souvent vanté ici les qualités exceptionnelles de Jean-Marie Le Pen, son courage, sa prescience, sa lucidité, sa ténacité, sa résistance au Politiquement Correct, nous avons chaleureusement soutenu toutes ses candidatures présidentielles, et nous ne le regrettons pas, mais cette façon de transformer un mouvement politique en PME familiale où, avec condescendance, l’on traite en domestique le fidèle lieutenant qui a tenu loyalement la boutique pendant des décennies parce que la fille du patron veut la place n’est pas acceptable. La fusion affective entre un père et une fille est sans doute une chose touchante sur le plan privé mais elle ne saurait prendre en otage la mouvance nationale en son entier. En écrivant ces lignes, nous avons conscience de ne pas nous faire que des amis mais, comme le dit saint Jean, la vérité libère !
LA CONTRE-ATTAQUE DU VICE-PRÉSIDENT
Dans une conférence de presse tenue le 2 juillet au siège national du mouvement, au Carré à Nanterre — le choix du lieu dénote un courage certain —, Bruno Gollnisch n’a eu aucun mal à répondre aux accusations lancées contre lui par presse interposée par le président et sa benjamine. Le rival de Marine Le Pen a commencé par “regretter” que le président du Front national « soit sorti de son rôle d’arbitre », ce qui diminue son autorité morale. Il n’est d’ailleurs pas sûr que cette prise de position profite à Marine Le Pen tant elle donne le sentiment que le clan familial veut à tout prix conserver le pouvoir absolu. Au reste, comme le dit à France-Soir la vice-présidente du FN, « ma famille fait bloc ». Nous n’en doutions pas.
« Je maintiens absolument et intégralement ma candidature » a affirmé crânement Gollnisch qui montre là une détermination et une ténacité qui devraient impressionner ceux qui doutaient jusque-là de sa combativité et de sa volonté de se battre jusqu’au bout. Interrogé sur l’appréciation de Jean-Marie Le Pen, qui jugeait qu’il ferait « un très bon ministre des Affaires étrangères » mais pas un numéro un, le député européen a répliqué non sans humour que « Marine ferait un excellent ministre de l’Intérieur, ou des Affaires sociales ou un excellent porte-parole du gouvernement ». Accusé d’être l’ami de Pierre Sidos, le fondateur de Jeune nation et de l’œuvre française, Bruno Gollnisch l’a démenti : « Je l’ai rencontré quatre fois dans ma vie, et toujours dans des manifestations publiques. » Ce que confirme l’intéressé dans un droit de réponse à France Soir qui l’avait très abusivement présenté comme « un opposant de toujours au FN ». Pierre Sidos y dit aussi son “estime” pour Gollnisch « au regard de ses qualités familiales, professionnelles, civiques » et sa « considération pour son calme et sa détermination ».
Par ailleurs, le vice-président du FN a jugé « contradictoire d’être accusé pêle-mêle » par Jean-Marie Le Pen « de vouloir agréger les groupuscules d’extrême droite » et « de vouloir aussi à tout prix des alliances avec l’UMP », grief que lui fait Marine Le Pen. Sur sa volonté de réunifier et de rassembler la mouvance nationale aujourd’hui très éclatée, Gollnisch a rappelé que c’était la démarche de Jean-Marie Le Pen lors de l’union patriotique avec Bruno Mégret et qu’à ce titre, à la demande du président du FN, il avait accueilli le président du MNR lors d’une réunion publique à Lyon dans le cadre de la campagne présidentielle de 2007. Pourquoi Jean-Marie Le Pen aurait-il le droit de prôner le pardon mutuel des offenses et pas Bruno Gollnisch ? Ce dernier a d’ailleurs souligné que dans l’entourage immédiat de Marine Le Pen il y avait beaucoup d’anciens mégrétistes comme Steeve Briois, Bruno Bilde et Nicolas Bay qui fut même le secrétaire général et le numéro deux du Mouvement national républicain. Les “félons” n’obtiendraient-ils l’aman que s’ils font allégeance à Marine Le Pen ? Il n’est quand même pas normal qu’il y ait plus de militants nationaux en dehors du Front qu’à l’intérieur. Et Gollnisch a bien raison de vouloir comme en Palestine une loi du retour pour dynamiser le mouvement national et réconcilier les frères ennemis.
LE COMBATTANT NATIONAL FACE AU DÉFENSEUR DES IMMIGRÉS CLANDESTINS
Enfin, Bruno Gollnisch a répondu sur son ancienneté au Front national. Lorsque Marine Le Pen prétend qu’il n’est adhérent que depuis 1988, soit elle se trompe (et elle aurait dû vérifier, ce qui n’est guère difficile), soit elle ment délibérément. Gollnisch a adhéré au Front en 1983, était responsable de la fédération FN du Rhône dès 1984, était candidat en dernière position sur la liste des européennes du 17 juin 1984, est président du groupe FN au conseil régional de Rhône-Alpes depuis 1986 sans discontinuité et fut député FN au Palais-Bourbon de 1986 à 1988 avant de devenir en juin 1989 député européen, mandat qu’il occupe encore aujourd’hui, les électeurs l’ayant réélu à chaque fois.
Pendant que Gollnisch mouillait sa chemise pour le Front, bataillait dans les assemblées, tenait des réunions et des conférences de presse, défendait Le Pen et le mouvement quand ils étaient attaqués, dénonçait les persécutions contre les révisionnistes, Marine Le Pen, elle, jeune avocate — métier dans lequel elle n’a guère persévéré —, droguée à la cigarette et en blue jean, défendait les immigrés clandestins, ainsi qu’elle s’en était vantée dans le magazine Interview en 1993 : « En tant qu’avocate, ça m’amuse souvent de défendre des Noirs ou des Arabes et en plus je suis volontaire. Même si je suis commise d’office, c’est un choix de ma part car il faut s’inscrire sur une liste d’avocats pour les comparutions immédiates (…) J’essaye de les défendre le mieux possible. Il y a beaucoup d’étrangers parmi eux, hélas, malgré mon talent je n’arrive pas tout le temps à empêcher leur expulsion. » Quelle tristesse en effet !
Après de telles déclarations, est-on digne d’assumer le rôle de chef du mouvement national dans un pays submergé et asservi ?
Jérôme BOURBON. »
en effet transformer le front national en p m e ?? c’est l’objectif de LE PEN?
la question doit etre posée et je crois depuis déja un moment !
malheuseusement .
or les idées et le combat et encore plus aujourd’hui qu’hier doit passer devant tout cela .
mème avec tout le respect pour J M LE PEN .
Excellent article, qui remet les pendules à l’heure. Quelle tristesse de voir JMLP attaquer ainsi son bras droit depuis plus de 25 ans…
Bonne analyse de Jérôme BOURBON : les jeux seraient-ils déjà faits avant le résultat des votes des adhérents ( pouvant encore s’inscrire au FN avant le 3 décembre ) qui s’exprimeront par voie postale ?
Chacun des deux postulants à la présidence du parti a les défauts de ses qualités…mais, car il y a un « MAIS », l’omniprésence de la benjamine des LE PEN dans les médias a de quoi surprendre ! On pourrait supposer que les organes de presse montrent un malin plaisir à promouvoir sa candidature, face à celle de GOLLNISCH, comme étant celle qui satisferait le Pouvoir…
MARINE a-t-elle jamais prononcé « A BAS LE REGIME » ????
Dommage que Jean-Pierrre STIRBOIS ne soit plus là.
Je crois que l’article de Bourbon ne met aucune pendule à l’heure.
Bien au contraire, il contribue à jeter de l’huile sur le feu et à diviser.
En temps de crise grave, les diviseurs doivent être considérés au même titre que les traitres.
« Dans pays submergé et asservi », peut-on proclamer que le rédacteur d’un tel article soit courageux et que le journal qui le publie soit un « journal d’opposition nationale »?
Je vous laisse méditer.
Il faut acheter RIVAROL!
Rivarol un des meilleurs et magnifique journal d’opposition dans la droite ligne du nationalisme
lupus…………. est npi?national?
Lupus nous invite à la méditation; il est vraiment touchant de candeur.
« Je crois que l’article de Bourbon ne met aucune pendule à l’heure.
Bien au contraire, il contribue à jeter de l’huile sur le feu et à diviser. »
C’est la meilleure celle-là !
En gros, Gollnisch n’aurait le droit que d’encaisser les remarques acerbes des Le Pen sans avoir le droit d’y répondre ?
Lupus, plutôt que de dire n’importe quoi, il faudrait nous donner des preuves que ce que dit Bourbon c’est du n’importe quoi.
Avez-vous des preuves qu’elle est contre l’avortement ? Avez-vous des preuves qu’elle est contre l’islam de France ? Avez vous des preuves qu’elle veut maintenir notre pays indépendant de tout lobby, y compris ceux rattachés à Israël ?
Si vous en avez, énoncez-les (mettez les liens), ce sera plus constructif que d’insulter Bourbon qui serait un traite…
Il est Lundi et chose plutôt rare, le dernier Rivarol en vente cette semaine dans mon kiosque vient de partir. Un vrai plaisir de voir que ce journal se vend très bien dans cette période où le pouvoir d’achat a plutôt tendance à diminuer pour énormément de personnes.
Excellent!!!! RIVAROL irremplaçable!
Je cours acheter un nouvel exemplaire pour un ami encore un peu ignorant.
Bourbon n’est pas membre du FN et n’est pas un proche de Gollnisch. Ce dernier n’a donc pas à critiquer ce journaliste.
NPI est composé de membre du FN et de très proches de Marine. Cette dernière aurait dû depuis longtemps rappeler à l’ordre ces diviseurs professionnels.
Moi je voterais pour Gollnish.