Lu dans Minute
« Le mercredi 16 juin, aux Invalides, la Fondation pour l’école a remis son premier Grand Prix de langue et de culture françaises […]. Ce nouveau concours, ouvert à tous, sans discrimination en fonction de l’établissement d’origine, veut «encourager et récompenser les jeunes amoureux de la langue française habités par le bonheur d’écrire». Mission accomplie car, pour un galop d’essai, ce fut un véritable coup de maître. Près de 1500 élèves de CM2 et de quatrième, venus de tous les horizons (école à la maison, école publique, enseignement sous contrat, enseignement libre ou encore enseignement par correspondance) ont répondu à des questions de grammaire et rédigé des rédactions sur des sujets propres à chaque tranche d’âge. […]
Ce jury, réunissant la fine fleur du monde culturel français, a récompensé trente lauréats […]. Si, en primaire, l’école privée sous contrat tient la dragée haute à l’école libre (huit lauréats sur quinze), en lui raflant même la première place, les lauréats pour les classes de 4e viennent tous de l’école hors contrat ! Et si l’Institution Saint-Pie X ne récolte qu’une médaille de bronze, elle place sept de ses élèves sur les quinze récompensés ! Jetons un voile discret sur l’école publique, complètement aux pelotes, puisque pas un descendant des Hussards noirs n’a même réussi à caser un de ses rejetons dans la dernière ligne droite! Précisons que, pour une neutralité absolue, les jurés ne savaient pas d’où venaient les copies qu’ils corrigeaient… »
Via le salon beige
François Bon
ahh c’est bon ca !!!
Gare aux représailles !
Il ne faudra pas que les écoles de la Fraternité St-Pie X se fassent piéger par des journalistes, genre « les Infiltrés ».
Gros dossier!! ( qui ne fera pas la Une du JT de TF1)
excellent. Encore une preuve qu’il est indispensable de scolariser nos enfant dans les écoles hors contrat de la fraternité
Vivement qu’on fasse disparaître ces écoles privées, quel mauvais exemple donnent-elles !
Non seulement, chez elles, il n’y a jamais de faits divers comme ceux qui défraient la chronique des établissements publics (d’où la nécessité d’en créer de toutes pièces et totalement artificiellement avec des émissions du service public), mais en plus le niveau scolaire y est plus élevé que partout ailleurs. Ainsi, ces écoles raflent toutes les premières places, alors que le nombre de leurs cadidats est moins important que les autres établissements et qu’elle ne coûte pas un kopec à l’Etat.