Encore une œuvre revue et corrigée par le politiquement correct. Carmen, l’opéra maître de Georges Bizet, vient d’être revisité en Italie par le metteur en scène Leo Muscato, qui a décidé d’en changer la fin par souci féministe.
En effet, l’opéra est censé se conclure sur la mort de Carmen, belle Bohémienne enjôleuse, poignardée par Don José qui en est fou amoureux. Un féminicide insupportable pour Leo Muscato, qui explique « qu’à notre époque marquée par le fléau des violences faites aux femmes, il est inconcevable qu’on applaudisse le meurtre de l’une d’elles. »
C’est donc Carmen qui tuera Don José en se défendant contre son agresseur, au mépris du texte qui fait pourtant dire au brigadier : « vous pouvez m’arrêter, c’est moi qui l’ait tuée. »
Le metteur en scène, qui admet modestement que cette idée lui a été soufflée par le directeur du théâtre Maggio à Florence, où l’opéra est présenté, n’est cependant pas avare de son « talent ». Son adaptation, plutôt que de se dérouler à Séville en 1830 comme le voulait l’auteur, est située au début des années 80 dans un camp de Roms que la police vient évidemment évacuer avec violence.
la bêtise est sans fin. les ( intellectuels ) ne parle plus avec leur bouche, mais avec leur Q… Jusqu’ou va-t-on ???
On ne transgresse pas un opéra composé par un Maitre ! Quelque soit le prétexte … Avec du talent, il faut en composer un autre » dans l’air du temps… »
Les ordures cosmopolites n’hésitent même plus à réécrire les œuvres d’art…
La prochaine fois Carmen sera une migrante et l’opéra sera chanté en langue inclusive…
Décidément la bêtise n’a plus de limites!!! N’importe quoi. Les censeurs révisionnistes sont à l’œuvre.
J’aime beaucoup Bizet, sauf justement Carmen, qui m’a toujours em… nuyé. Ceci étant, la propension des médiocres à déposer des ordures le long des chefs d’œuvres a toujours existé; le problème est que les dits médiocres tiennent maintenant le haut du pavé.
quelle honte!!!
le « politiquement correct » va finir par nous faire tous vomir
j’espère qu’on verra bientôt Desdémone étrangles Othello
aïe, mauvais exemple: il est noir
on pourrait le blanchir…
et si on vaccinait la dame aux camélias
et Escamillo poursuivi par la spa
on pourrait en faire un boucher charcutier
il s’agit bien plutôt de l’éducation
qui commence dès l’enfance
et où l’on apprend le respect