«L’athéisme en France est une religion et l’anticléricalisme une église.» E.Berl
Chers internautes,
Cette semaine encore je voudrais revenir sur plusieurs évènements relatifs à l’actualité de la christianophobie dans notre monde.
Je voudrais tout d’abord évoquer l’actualité internationale. Le fait marquant de ces derniers jours est sans nul doute l’attaque dont a été victime un enseignant catholique en Inde. T.J Joseph, 53 ans, a été attaqué par un groupe de militants islamistes alors qu’il rentrait de la messe le 4 juillet dernier, car il avait selon eux insulté le « prophète Mahomet » dans l’un de ses sujets d’examen. Les barbares armés de sabres, de haches et de bâtons ont arrêté la voiture de l’enseignant, l’ont obligé à sortir et lui ont tranché la main droite ainsi qu’une partie du bras. Les sauvages se sont enfuis après avoir frappé la mère de T.J Joseph et jeté les membres du pauvre homme à une centaine de mètres des lieux de l’agression.
En France, sachez que le journal « Métro » s’est intéressé de près aux différentes cibles de profanations observables sur le sol français.
Le résultat de l’étude produite est sans appel, les lieux de culte chrétiens sont bel et bien les principaux visés. Les auteurs de l’article vont plus loin en allant jusqu’à citer quelques chiffres. Ainsi affirment-ils, « entre 90 et 95 % des lieux de culte profanés sont chrétiens ». Il est également mentionné dans l’article que « le traitement politique et médiatique peut être variable selon les lieux de culte profanés » ou encore qu’ « on focalise davantage l’attention lorsqu’il s’agit des carrés musulmans ou juifs que pour les lieux chrétiens ».
Ce type de propos constitue une véritable révolution dans le paysage médiatique français où les protagonistes profitent en général de leur situation pour porter atteinte à la Chrétienté et non la défendre !
Le journal « Métro » va encore plus loin en affirmant : « le vocabulaire employé n’est pas le même. Ecoutez les médias : si l’on parle de lieux chrétiens, on évoquera – sauf exception – des actes de vandalisme. Pour les autres religions en revanche, on parlera davantage de profanation ».
Toujours selon Métro « il y a eu en 2007 151 profanations antichrétiennes, 8 profanations antimusulmanes et 5 profanations antisémites. En 2008, 269 profanations antichrétiennes ont été répertoriées ainsi que 13 profanations antimusulmanes et 3 profanations antisémites. Enfin, en 2009, ce sont 216 profanations antichrétiennes qui ont été déplorées contre 6 profanations antimusulmanes et 4 profanations antisémites ».
Comment peut-on aujourd’hui encore rester de marbre et fermer les yeux face à cette haine croissante s’abatant sur les chrétiens ?
Bien entendu l’enquêteur a qui est donnée la parole dans ce numéro de « Métro » ne peut se permettre d’être trop catégorique dans sa dénonciation du « deux poids deux mesures » qui gère la question des profanations. Il s’empresse en effet d’expliquer : « Le ressenti est sans doute différent ; pour les lieux chrétiens, on va davantage parler d’actes à connotations sataniques. Ce sont des dérives que l’on connaît mal, et que l’on ne sait pas trop comment combattre. Pour les lieux juifs et musulmans, les profanations prennent un caractère raciste et antisémite, contre lequel il est plus simple de s’opposer ». Tout s’explique… On comprend en tout cas l’obligation qui est faite aux chroniqueurs des médias classiques de ne pas être trop « pro-chrétiens », même lorsque les faits rapportés sont d’une intense gravité.
Mes amis, c’est à nous que reviennent la difficulté d’une part, mais aussi l’immense privilège d’être les ambassadeurs de notre Foi et de nos convictions dans un monde qui cherche quotidiennement à broyer les idéaux qui nous animent. Espoir et résistance !
A la semaine prochaine,
Que Dieu vous garde.
Laurent, pour contre-info.com
Saluons, une fois n’est pas coutume, l’objectivité d’un grand journal conformiste (le quotidien metro en l’occurence).
Néanmois, ceci est un article intéressant dans un flot d’informations tandancieuses voire mensongères, et donc cela n’en fera pas de moi un lecteur régulier pour autant ! D’autant que si les faits sont retranscrits conformément à la réalité, tout de suite le journal interroge un enquêteur avec des explications foireuses. Comme quoi, chassez le naturel, il revient au galop !