Après la légalisation du mariage pour les invertis, la PMA est autorisée pour les lesbiennes. La prochaine étape sera la GPA, puis le mariage à plus de 2. Il ne manquera plus que la légalisation de la zoophilie et de la pédophilie. Ce qui paraissait invraisemblable aux Français il y a 20 ans, se réalise sans que les citoyens ne bronchent.
Pour l’heure, la procréation médicalement assistée (PMA) est exclusivement réservée aux couples hétérosexuels en âge de procréer et qui souffrent d’une infertilité médicalement constatée ou bien qui risquent de transmettre une maladie grave à leur enfant.
Marlène Schiappa, secrétaire d’Etat à l’égalité entre les femmes et les hommes, a annoncé ce mardi matin que le gouvernement allait proposer d’ouvrir la PMA à toutes les femmes en 2018.
Il s’agissait d’une promesse de campagne d’Emmanuel Macron, alors candidat à l’Élysée. En avril, pendant la campagne présidentielle, le candidat Macron avait indiqué, dans un courrier aux associations LGBT (« lesbiennes, gays, bis et trans »), qu’il attendrait que le Comité consultatif national d’éthique (CCNE) « ait rendu son avis (…), pour pouvoir construire un consensus le plus large possible », tout en se disant « favorable » à une loi ouvrant la PMA « aux couples de lesbiennes et aux femmes célibataires ».