Les contribuables français peuvent être contents. Grâce à leurs impôts, David de Rothschild et sa Fondation pour la Mémoire de la Shoah a lancé, mardi 26 janvier 2010, une série de colloques consacrés à la Shoah dans plusieurs villes du monde arabo-musulman dont un premier à Jérusalem-est.
Organisés dans les centres culturels français, ces événements visent à présenter le Projet Aladin.
Ce projet vise à rendre disponibles en arabe, en farsi et en turc la propagande officielle concernant la Shoah.
« Le projet Aladin est né d’un constat accablant : celui de la prolifération du négationnisme et de l’antisémitisme attisé par le conflit israélo-palestinien. Face à cette dure réalité, la Fondation pour la Mémoire de la Shoah se devait d’apporter sa contribution à la défense de la vérité historique et de la tolérance », nous explique le « bienfaiteur » David de Rothschild.
Tout cela est très rigolo, mais je ne suis pas sûr que ça marche. Les arabes ne sont pas prêts à se faire culpabiliser comme le furent les européens. D’une part, car ce ne sont pas eux les responsables de ce qu’on appelle désormais la shoah, et d’autre part, car je ne crois pas qu’ils goberont tout. En effet, je ne pense pas que les pays Arabes soient prêts à entraver leur liberté d’expression pour les bons yeux d’Israël, ce qui réduit inévitablement le bourrage de crâne.
Et le projet Saladin, y connaissent?