Grâce à des analyses d’ADN, les enquêteurs du commissariat de police ont pu attribuer 36 cambriolages à un Columérin de 23 ans bien connu de leurs services. « Après sept cambriolages réalisés au mois d’octobre dernier, nous avons interpellé un individu qui a été condamné et emprisonné jusqu’au début du mois de janvier », explique le commandant Rieutor, chef de la division Ouest de la police nationale à Colomiers. « Des prélèvements réalisés lors de faits antérieurs ont permis de le mettre en cause formellement dans une autre série de 36 cambriolages, commis entre mai et septembre 2017 ».
Lors de vols par effraction commis chez des particuliers, de jour comme de nuit et parfois même pendant leur sommeil, le malfaiteur a dérobé des bijoux, de l’argent et du matériel vidéo dont aucune trace n’a été retrouvée. Alors qu’il était sorti de prison depuis quelques jours, les policiers l’ont interpellé une deuxième fois, lundi, pour qu’il réponde de ses actes. Présenté, mercredi soir, au tribunal en comparution immédiate, il a été condamné à deux ans de prison avec sursis et laissé en liberté. En prononçant sa peine, le juge a mentionné une altération de discernement du prévenu.
« altération du discernement », mais le juge s’est trompé ; c’est lui même qui est concerné par cette altération du discernement :
Raison pour laquelle il l’a attribuée au prévenu et non à lui même.
Question : un juge , a t-il le droit d ‘enfreindre la loi ?
Je pense que non et pourtant …
On ne sait jamais ni le nom du juge, ni son adresse personnelle.
Incroyable. Effectivement c’est le juge dont le discernement est altéré. Quel laxisme en France pour des voleurs, des bandits, des djihiadistes. Quant à nous, pauvres petits citoyens, on nous tombe dessus pour peu de chose!!!!LAMENTABLE le justice en France