Bien qu’on l’ait plus souvent vu au cinéma que sur scène ou en studio ces dernières années, Dutronc déplore le manque d’envergure du cinéma français.
«Ça manque un peu de locomotives, se désole-t-il. Le seul projet intéressant qu’on m’a proposé, c’est un film mis en scène par Malavoy qui évoquerait la fuite de Céline en Allemagne, mais ils ont du mal à trouver un financement» (Le Figaro du 14/12/2009).
Dutronc doit incarner l’écrivain Céline, son écrivain préféré (« sa veuve m’a toujours expliqué que je lui ressemblais, d’ailleurs j’ai le même doigt tordu que lui », souligne-t-il) dans un film de Christophe Malavoy, dont il entamera le tournage après… la tournée (Le Monde Magazine, 9/1/2010).
Si ça pouvait inciter les gens à lire Céline…
Saviez-vous d’ailleurs que Sarközy se vantait d’être un lecteur assidu de Céline ?
Ethno-masochisme ? Je pencherais plutôt pour un petit mensonge snobinard…