Si l’on voit bien, par le diagramme ci-contre, que la Grèce, en chutant, ébranlerait fortement les économies d’Europe de l’Ouest, au premier rang desquelles la France, on pressent d’autant plus l’onde de choc que pourrait créer l’insolvabilité (c’est à dire l’incapacité à rembourser sa dette) du Portugal, prochain sur la liste après la Grèce, au regard de son endettement vis à vis de l’Espagne et une nouvelle fois vis à vis du trio France-Allemagne-Royaume Uni.
Tout ceci illustre la fragilité des économies méditerranéennes, à la remorque d’une politique monétaire à l’allemande, la position inconfortable de la France, très impliquée dans ces endettements croisés, sans être de surcroît elle-même nécessairement vertueuse dans ses dépenses, et les sueurs froides que se procurent les économies orthodoxes menées par l’Allemagne.
Crédit image : New York Times
Un allemand sur trois souhaite le retour du Deutsche Mark :
« Jeder Dritte will die D-Mark zurück »
http://www.focus.de/finanzen/banken/euro/zehn-jahre-waehrungsunion-jeder-dritte-will-die-d-mark-zurueck_aid_298775.html
Au milieu du diagramme, on aperçoit clairement un pentagramme, l’étoile satanique… à mort l’eurobabélisme luciférien!
Cela s’appelle de la géométrie, NG…
A partir du moment où l’on représente des relations entre cinq intervenants, difficile de faire autre chose qu’un pentagramme.