Deux membres de la famille de Rachida Dati, son frère et son beau-frère, sont au cœur de l’actualité judiciaire. L’un a été arrêté en possession de drogues mercredi soir en Belgique et écroué à la prison de Lantin. L’autre, accusé d’agression sexuelle sur mineure, a écopé la semaine dernière de trois mois de prison avec sursis.
D’abord, son frère Jamal – dont les relations avec la députée européenne ne sont pas au beau fixe – a été arrêté mercredi soir en Belgique, dans la région de Visé, en possession de drogue, indique le site Lameuse.be . D’après les premières informations, l’homme, âgé de 38 ans et résidant à Piennes (Meurthe-et-Moselle), s’était rendu à Maastricht en vue de s’approvisionner en stupéfiants. Dans sa voiture, la police – qui procédait à un contrôle banal – a retrouvé 30 grammes d’héroïne et 5,7 grammes de marijuana.
D’après le site, Jamal Dati aurait été déféré jeudi au parquet de Liège, puis écroué à la prison de Lantin. Un mandat d’arrêt aurait également été requis contre le frère de la maire du 7e arrondissement de Paris. Une interpellation qui n’est pas une première. Il avait déjà été condamné, en 2001 et en 2007, à de la prison ferme pour trafic de stupéfiants. Un passé de dealer qu’il disait pourtant regretter dans un livre publié fin 2009 et intitulé Dans l’ombre de Rachida: « J’ai mis la honte à ma famille… » A propos de sa sœur, il évoquait « une femme cassante qui ne s’est jamais occupé de lui ».
Mais ce n’est pas tout. L’actualité judiciaire de jeudi évoque également le cas du beau-frère de Rachida Dati. Le mari de sa sœur a en effet été condamné la semaine dernière à trois mois de prison avec sursis et deux ans de mise à l’épreuve par le tribunal correctionnel de Bourg-en-Bresse (Ain) pour agression sexuelle sur mineure, annonce jeudi Le Dauphiné. Les faits remontent au printemps dernier. Une adolescente de 14 ans avait porté plainte et racontait avoir été abusée sexuellement par cet homme, conducteur de bus, dans le cadre de ses fonctions. Placé en garde à vue, le 14 mai, ce père de deux enfants avait été remis en liberté et placé sous contrôle judiciaire. Sommé de quitter le département, le beau-frère de Rachida Dati – qui a toujours nié les faits, reconnaissant seulement un « baiser volé » – vivait depuis en Suisse.
décidément , la famille dati n’est pas intérréssante ; entre cupidité , vénalité et malhonnêteté , tu parles d’un choix !
Elle n,est guère différente des autres ministres qui se sont succédés en république.
Mais il est vrai que sa famille met quand même le paquet. Pourtant ils ne sont pas précisément à plaindre. où est le discours « j,ai-pas-eu-ma-chance… »?