La fin de Zapatero

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Si la victoire du Parti Populaire de Rajoy lors des récentes législatives espagnoles appelle peu de commentaires -en raison de la tiédeur de cette droite libérale-, la fin du règne de la gauche de Zapatero mérite quelques analyses.

Pendant tout son mandat (2044-2011), Zapatero aura incarné la gauche espagnole haineuse, mesquine et laïcarde.

Ainsi, lorsque Benoît XVI avait rendu une visite officielle en Espagne (2010), les autorités officielles à commencer par Zapatero avaient réservé un accueil froid et discourtois au Pape, pourtant chef d’Etat et représentant la religion de millions d’espagnols. Il en avait été de même lors des JMJ de Madrid en 2011, où de plus, rien ou presque n’avait été fait pour protéger les jeunes catholiques inquiétés par des cohortes « d’indignés » anti-chrétiens et agressifs; un évêque français d’un diocèse normand avait d’ailleurs effectué une protestation officielle auprès des autorités espagnoles pour dénoncer les violences exercées contre son propre groupe -comprenant des handicapés- ainsi que le comportement du commissaire de police local de Madrid qui n’avait reçu la plainte de l’évêque que sur pression de l’Ambassade de France.

Enfin, tout au long de sa législature, Zapatero n’avait pas manqué une occasion de critiquer l’Eglise ou de faire la promotion du laxisme moral : c’est ainsi qu’en 2005 une loi légalisait le « mariage » homosexuel et l’adoption d’enfants par des homosexuels tandis qu’une autre loi libéralisait largement le divorce.

Et puis, il y eut la vengeance, la haine froide ruminée depuis 1939 : mauvais perdants, Zapatero et ses sbires ont voulu effacer de l’histoire leur défaite face aux nationalistes (guerre civile 1936-39 puis régime franquiste jusqu’en 1975) en faisant disparaître tout souvenir du Général Francisco Franco : noms de rues et statues équestres en totalité n’ont pas résisté à cette haine destructrice, alors que le site de la Vallée de Los Caidos -symbole de l’unité espagnole et lieu des sépultures de Franco et José-Antonio Primo de Rivera- était menacé de fermeture et les hommages annuels soumis aux brimades juridiques et menacés d’interdiction.

Par ces gestes, Zapatero a voulu détruire ce qu’il n’avait pu voler : la victoire franquiste de 1939 et le succès du régime franquiste. Plusieurs fois en effet, au 20 siècle, les gauchistes espagnols avaient volé la victoire de la droite, qu’elle soit monarchiste (municipales d’avril 1931) ou républicaine (législatives de décembre 1933) : dans les deux cas, la gauche vaincue avait semé le chaos pour voler la victoire, intimider le peuple (rappelons-nous l’entre deux-tours de la présidentielle 2002 en France) et prendre la tête du gouvernement par un véritable coup d’état institutionnel.

Mauvais joueur, le gauchiste espagnol est aussi lâche : en avançant à l’automne 2011 des législatives prévues au printemps 2012, Zapatero -remplacé pour le scrutin par Rubalcaba- a voulu partir discrètement pour ne pas assumer le chaos qui s’annonce en Espagne, conséquence à la fois du mondialisme et de la dispendieuse gestion étatique de Zapatero.

Le problème pour Zapatero, c’est que les dates ne sont pas discrètes ; elles s’affichent clairement au vu de tous et de l’histoire : Zapatero a terminé son mandat, en 2011, par la déroute électorale du 20 novembre … jour anniversaire de la mort de Franco.
Pour nous, ce 20 novembre, ce fut un signe du destin de pouvoir rendre hommage au Caudillo tout en célébrant la chute de celui qui s’était acharné à détruire sa mémoire, l’indigne Zapatero.

FX

7 commentaires concernant l'article “La fin de Zapatero”

  1. excellent portrait de ce pourri gochiste haineux et dévoyé :dégages Zapatero et bon débarras ! Faudrait aussi viré la baudruche Hollande étalant sa fumisterie avec ses complices merdiatiques télé ,et congédier le nabot Sarko qui trafique tant et plus de trahisons contre la Nation et contre le Peuple avec son européisme mondialiste et sa braderie de nos interets aux banksters américano-sionistes .

  2. Les mondialistes ont fait voter pour Zapatero en 2004, en 2011 il ne rentrait plus dans leurs plans.Alors ils l’ont éjecté, tout comme Berlusconi!!!

    Nos gouvernements sont vraiment que des pions!!

  3. En 2007…SEGOGOLE prenant modèle sur cet ectoplasme , se faisait appeler  » la zapatera « …..la savetière! tout un programe.

  4. Un concentré de la misère intellectuelle socialiste dont Hollande est le représentant en France, il sera le Zapatero Français si par malheur les électeurs sont trop découragés pour aller voter.

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