Où l’on apprend selon le Telegraph que la presse iranienne réagit violemment à l’ingérence de Carla Sarközy et Isabelle Adjani contre la sentence capitale prononcée à l’encontre Sakineh Mohammadi Ashtiani, une femme accusée d’adultère et du meurtre de son mari.
La semaine dernière, Carla Sarközy a ainsi envoyé une lettre à la détenue en attente d’éxécution : « En France, les enfants apprennent à l’école que la clémence est la principale vertu des gouvernants. Du fond de votre cellule, sachez que mon mari plaidera votre cause sans relâche et que la France ne vous abandonnera pas. »
Le journal Kayhan, proche du pouvoir iranien, qualifie Carla Sarközy et Isabelle Adjani, également impliquée dans la mobilisation des « peoples », de prostituées dans un éditorial, tandis que la télévision publique iranienne commente la vertu de Mme Sarközy, l’accusant d’immoralité.
Carla Bruni-Sarközy, pour qui la monogamie est ennuyeuse, dévoilait il y a peu sa conception de la fidélité : « Je ne suis pas vraiment une femme fatale. Je n’ai jamais commis d’adultère, puisque je n’ai jamais été mariée. »
Il est à noter que si pour le journal Telegraph, ainsi que pour l’ensemble des journaux français qui ont repris son article, la condamnée à mort devra subir la lapidation, il n’en est rien pour le gouvernement iranien qui a démenti et parlé à la place de pendaison.
Sakineh Mohammadi Ashtiani a épuisé tous ses recours juridiques, tandis que la court suprême de Téhéran a rejeté une réouverture de son procès.
La vilaine ! Elle me fait honte.
quelle laideur…
http://legaysavoir.blogspot.com/2010/08/pink-first-lady-prima-donna-gay-di.html
C’est vrai quelle n’est pas très belle.
Je ne vois pas quel est le problème à cette déclaration officielle de l’Iran. Ce pays n’a jamais dit que la vérité, et d’ailleurs en voilà la preuve : (lecteurs prudes, ne pas cliquer) :
http://desourcesure.com/uploadv3/carla-bruni-nue-max4.jpg
http://www.come4news.com/images/stories/LOGOS/carla_brunie_ebay.jpg
http://infosnews.net/files/Carla/Carla005.jpg
Et ce ne sont que des exemples, il serait facile d’en trouver de nombreux autres. Certes, Carla Sarkozy-Bruni n’est pas une catin qui fait son métier sur le trottoir, mais elle n’en reste pas moins une prostituée de luxe.
D’ailleurs il n’y a rien de nouveau là-dedans, et plutôt qu’un long discours, voilà une caricature qui résume bien l’ère sarkozyenne : Loin d’être sérieux, ses frasques et ses divorces étaient plus dignes des stars de cinéma ou de la jet set, et depuis qu’il a choisi Carla pour épouse, on se retrouve au niveau des acteurs du porno.
http://www.fusina.net/images/vignettes/Carla_Bruni_nue.jpg
Comment amener les goys à soutenir une attaque militaire contre l’Iran ? La méthode BHL !
Défense des femmes : BHL et Ni Putes Ni Soumises disqualifiés.La moitié des personnalités signataires de la pétition de BHL pour sauver l’iranienne ont signé la pétition pour faire sortir le violeur pédophile Polanski de prison
« Ni Putes Ni Soumises » a manifesté au côté de BHL ,premier défenseur du violeur Polanski .
Une centaine de personnes ont manifesté hier à Paris pour demander la libération de Sakineh Mohammadi-Ashtiani, une Iranienne condamnée à mort par lapidation pour adultère. La justice iranienne va réexaminer le dossier
http://www.lavoixdunord.fr/France_Monde/actualite/Secteur_France_Monde/2010/08/29/article_faire-pression-sur-l-iran-pour-sauver-sa.shtml
Dans la presse suisse, il est fait mention que la condamnée à mort est aussi reconnue coupable de « complicité de meurtre » de son mari… Ce n’est donc pas qu’une simple affaire de fesses comme voudrait nous le faire croire la classe judéo-politico-médiatique.
C’est dingue la désinformation dont les Français sont victimes.
Mais ça ne change rien au fait, que ces guignols ne devraient pas s’ingérer dans les affaires pénales des pays étrangers. D’autant moins qu’on n’a pas de leçon à donner à l’Iran quand on sait qu’un écrivain révisionniste est actuellement enfermé dans une prison française pour avoir émis une opinion sur une période de l’histoire.
Quant à la critique des mœurs plus que légères de la supposée « première dame », elle est conforme à la réalité. Il n’y a que la vérité qui blesse.
Mais ça ne change rien