Le thème dominant dans la symphonie politique dont Weinstein n’aura été que le coup de cymbale ou le pipeau d’ouverture, est bien le rapport entre ethnie et sexe. Dans la réalité, l’Europe et le monde demeurent K.O. debout depuis le déferlement de migrants qui a submergé l’Europe depuis 2014 et devant le nombre incalculable d’agressions et de viols que cela a provoqué, dont la nuit de la Saint Sylvestre 2015 à Cologne est l’épisode le plus connu. Dans la réalité, aux États-Unis, pour l’année 2015 (ce type de statistiques par communauté n’est pas facile à obtenir en ligne pour toutes les années), 36.000 Blanches (soit 33,6 % des Blanches violées) ont été violées par des Noirs (alors que ceux-ci ne formaient alors que 12 % de la population) : par comparaison, moins de 10 femmes noires l’ont été par des Blancs.
Dans la fiction politique répandue par la Révolution, c’est la société patriarcale et ses prédateurs tolérés qui sont un danger pour les femmes. Ce sont eux qui agressent et violent. Or, chacun le sait, par l’exemple serbe récent, comme par l’exemple plus ancien de l’armée soviétique en Allemagne, le viol de masse est une arme, qui signale une situation de guerre et une volonté de domination territoriale et ethnique. Il y a donc une guerre sexuelle, sexiste et ethnique, menée par « les minorités défavorisées » soutenues par Obama, orfèvre en la matière, les féministes et la Révolution mondialiste, contre les nations d’Europe et d’Amérique du Nord, contre le mâle blanc de plus de cinquante ans qui seul peut avoir la capacité sociale et financière à s’opposer au Nouvel Ordre Mondial. On la masque par le fantasme fabriqué grâce à Weinstein. L’enjeu du mensonge est la domination mentale de notre société.
Pauline Mille pour Reinformation.tv
Weinstein fait partie de l’ aristocratie qui s’ est donné pour mission de faire l’ éducation morale du monde.
à saluer avec respect.
sancto subito.